Au lendemain du CES 2015, dont il était absent cette année, Fujifilm renforce aujourd'hui sa gamme d'appareils photo rétro de la série X.
Fujifilm X-A2 : un hybride à selfie
Fujifilm s'empare à son tour de la tendance du selfie, avec le renouvellement de son appareil photo à objectif interchangeable premier prix. Par rapport au X-A1 présenté en septembre 2013, le nouvel X-A2 apporte principalement un écran orientable non pas à plus ou moins 90 degrés, permettant de cadrer du dessus ou du dessous, mais à 175 degrés vers le haut. De quoi cadrer un autoportrait, au lieu de le faire à l'aveugle.
En outre lorsque l'écran est orienté vers l'avant, l'appareil enclenche automatiquement un nouveau mode autofocus, qui effectue automatiquement la mise au point sur les yeux du sujet.
Le X-A2 hérite par ailleurs de la fiche technique de son prédécesseur. Soulignons tout particulièrement le fait qu'il ne dispose pas d'un capteur X-Trans, qui fait la force du reste de la série X, mais d'un capteur CMOS à matrice de Bayer conventionnelle, au format APS-C et de 16 millions de pixels en l'occurrence.
Associé à un nouvel objectif XC 16-50 mm f/3,5-5,6 OIS II (équivalent 24-76 mm) plus qualitatif et mieux stabilisé, le Fujifilm X-A2 sera enfin vendu 500 euros, 50 euros de moins que son prédécesseur au lancement, à partir du mois de février. Avec en plus un nouvel XC 50-230 mm f/4,5-6,7 II, il sera vendu 650 euros.
Fujifilm XQ2 : encore plus rétro
Fujifilm renouvelle également son compact expert. Le nouveau XQ2 n'est qu'une modeste mise à jour du XQ1 présenté en octobre 2013. Les seuls apports sont un nouveau filtre de simulation de film « Classic Chrome » ainsi qu'un nouveau coloris bicolore gris et noir plus rétro.
Mais Fujifilm profite de l'occasion pour revoir le prix à la baisse, modestement. Le XQ2 sera lui aussi lancé au mois de février, pour 380 euros, soit 20 euros de moins que son prédécesseur au lancement.
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C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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