Cet écran (tactile, bien sûr) n'est toutefois qu'une des nombreuses options de configurations qu'autorise le constructeur sur ce modèle, puisque le Radius 12 « classique » intègre une dalle dotée d'une définition plus raisonnable, en Full HD.
Côté composants, vous avez là aussi plusieurs possibilités allant jusqu'au Core i7 de sixième génération Skylake, un SSD au format M.2 dont la capacité peut grimper à 512 Go, et 8 Go de mémoire vive de type LPDDR3 @1600 MHz quelle que soit la configuration.
Dans ce format réduit pas vraiment destiné au joueur, c'est l'IGP du processeur (le HD Graphics 520) qui est en charge de l'affichage. La connectique est composée de deux ports USB 3.0, d'un troisième port de type C (en USB 3.1), et d'une sortie HDMI. Le Wi-Fi i802.11ac et le Bluetooth 4.0 sont également de la partie.
Enfin, notez la présence d'une caméra que la marque annonce compatible avec le nouveau système d'authentification Windows Hello de Microsoft, sans toutefois préciser s'il s'agit d'un modèle doté de la technologie RealSense d'Intel.
Pour ce nouveau portable, Toshiba annonce une autonomie de 8 heures pour le modèle Full HD, et de 6 heures pour la version UHD. Mesurant 299,5 x 209 x 15,4 mm, ce portable ne pèse que 1,32 kg (selon la configuration), un poids relativement faible grâce à l'utilisation d'aluminium pour le châssis.
Le Toshiba Satellite Radius 12 sera disponible en Europe à compter du quatrième trimestre 2015.
Mes domaines de prédilection ? Les ordinateurs portables et les SSD ! Mais de temps à autre, je m'autorise quelques infidélités pour des boîtiers, des alimentations ou des solutions de refroidissement, tests dont je suis particulièrement friand. Je déteste l'expression "Le mieux est l'ennemi du bien" (notamment lorsqu'il s'agit de rendre mon PC silencieux), les livreurs qui arrivent sans bordereau et les coups de pieds de Polo sous le bureau. J'aime réussir mes photos-produit, améliorer les protocoles de test et cocher la case "Public" de notre interface d'édition. Féru de football, je m'essaie également à la photographie à mes heures perdues et ne recule jamais devant une petite partie de poker. Le tout saupoudré de beaucoup, beaucoup de musique.
Lire d'autres articles
