Aorus occupe le terrain. Moins d'une semaine après avoir mis à niveau la série X7, il en fait autant avec la série X3, et lance ainsi un concurrent direct du fameux Razer Blade 14.
Aorus — la division jeu vidéo du fabricant de cartes mères Gigabyte, l'équivalent de ROG pour Asus ou d'Alienware pour Dell — a annoncé hier le X3 Plus v3, un nouvel ordinateur portable misant sur un excellent rapport portabilité-performances.
L'Aorus X3 Plus v3 embarque une puce graphique Nvidia GeForce GTX 970M dans un châssis en aluminium de 22 mm d'épaisseur et de 1,8 kg, et dispose d'un écran de 14 pouces affichant une très haute définition QHD+ de 3200 x 1800 pixels. Tout comme le Razer Blade 14, plébiscité mais non commercialisé en France.
Le processeur Intel Core i7-4710HQ à quatre cœurs cadencés de 2,5 à 3,5 GHz est lui aussi similaire à celui du Razer, mais le nouveau X3 se distingue à plus d'un titre. En matière de composants, il hérite pour commencer des trois emplacements mSATA du X7, qui lui permettent d'accueillir jusqu'à 1,5 To de SSD en RAID. Sur le plan ergonomique, on retrouve en outre le clavier rétroéclairé avec 5 touches programmables en 5 groupes, ce qui s'avère rare sur des ordinateurs portables dédiés au jeu.
Le reste de la configuration est plus banal. On trouve 8 Go de mémoire vive DDR3L à 1600 ou 1866 MHz, un contrôleur Gigabit Ethernet Killer NIC, du Wi-Fi 802.11ac et du Bluetooth 4.0, 3 ports USB 3.0, une sortie HDMI et une sortie DisplayPort, cette dernière étant compatible Ultra HD à 60 Hz.
Cet Aorus X3 Plus v3 est disponible dès à présent en France pour un tarif démarrant à 2 400 euros. Il constitue donc une alternative au Razer Blade 14, tout aussi alléchant, mais qui n'est pas commercialisé en France.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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