Sony a récemment lancé en France un nouvel ordinateur ultra-portable de 11,6 pouces adoptant à son tour AMD Fusion. En fait de nouveau modèle, le « Vaio YB » est la déclinaison AMD Brazos du Vaio YA, reposant quant à lui sur la plateforme Intel Calpella.
En abritant un AMD E-350, un APU combinant pour rappel un CPU double-cœur cadencé à 1,6 GHz et un GPU Radeon HD 6310, assurant le décodage de la Full HD et offrant une sortie HDMI, la famille « Vaio Y » perd en puissance mais aussi et surtout en prix. Le « Vaio Y » devient ainsi un netbook, relativement haut de gamme malgré tout.
Ces composants sont épaulés par 2 Go de mémoire vive DDR3 à 1066 MHz, le stockage est confié à un disque dur de 320 Go à 5400 tr/min, extensible au moyen d'un lecteur de carte SD. Il est en revanche dépourvu de lecteur optique. La connectique plutôt riche comprend du Wi-Fi N, du Bluetooth 2.1, de l'Ethernet Gigabit, trois ports USB 2.0 et des entrées/sorties audio analogiques.
Il s'articule donc autour d'un écran d'une diagonale de 11,6 pouces affichant une définition WXGA (1366 x 768 pixels), surmonté d'une webcam VGA et d'un micro. Muni en standard d'une batterie à 6 cellules lui conférant une autonomie non communiquée, il accuse un poids honorable de 1,46 kg sur la balance pour 25 mm d'épaisseur.
Il est enfin livré sous Windows 7 Édition Familiale Premium, alors que la majorité des netbooks Atom sont livrés avec l'édition Starter.
Le « Sony Vaio VPC-YB1S1E/S » est d'ores et déjà commercialisé en France au prix public de 500 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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