Casio lance une seconde montre connectée en France, un modèle unisexe et plus passe partout que celui disponible depuis un an et demi.
Pionnier de la montre numérique (à écran à cristaux liquides) il y a quelques décennies puis pionnier de la montre connectée à un téléphone dès 2011, Casio investit doucement le marché occidental avec ses montres sans fioritures.
Il lance effectivement la GB-5600 en France, près de deux ans après sa mise en vente au Japon, en septembre 2012. Jusqu'à présent seules la GB-6900 et sa variante grand format GB-X6900, toutes deux masculines et sportives, étaient disponibles.
Les trois modèles offrent pourtant les mêmes fonctionnalités, et s'en tiennent à l'essentiel. Connectées via Bluetooth Smart (Bluetooth Low Energy) à un téléphone compatible...
elles relaient les notifications sous forme de pictogrammes, avec un bip et/ou une vibration,
elles synchronisent l'horloge, le fuseau horaire et les alarmes,
et elles alertent l'utilisateur lorsque leur mobile est hors de portée, en cas d'oubli ou de vol.
Elles ne permettent pas de télécommander le lecteur de musique fonctionnant sur le téléphone, contrairement à la deuxième génération de la GB-6900 qui est commercialisée au Japon depuis près d'un an. Cette fonction fera son apparition sur de nouveaux modèles qui seront lancés en France cet été.
On reste loin quoi qu'il en soit de montres connectées populaires, comme les Samsung Gear et Sony SmartWatch à écrans tactiles couleurs, mais en contrepartie l'autonomie atteint deux ans pour 12 h de connexion par jour.
La montre Casio G-Shock GB-5600 est donc disponible dès à présent en France, en quatre coloris, au prix public de 180 euros.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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