Sur son stand, LG disposait d'exemplaires de test couvrant l'intégralité de la gamme 2012. Nous avons profité de l'occasion pour réaliser une vidéo de présentation du nouvel Optimus 3D Max. Quoi de neuf sous le soleil par rapport à l'Optimus 3D ? La réponse dans quelques instants !
Rappelons les caractéristiques de l'Optimus 3D Max. Point de Tegra 3, le 3D Max est à nouveau mû par un processeur Texas Instruments double cœur (OMAP4430) cadencé à 1.2 GHz. L'affichage de 4,3 3D auto stéréoscopiques de 4,3 pouces offre une résolution de 480 x 800 (identique à celle de l'Optimus3D).
Mettons immédiatement fin au suspense, le 3D Max ne fait pas de miracles par rapport à son grand frère. Il faut toujours tenir le mobile bien en face au degré près pour éviter de perdre l'effet 3D. Même lorsqu'on respecte cette condition, on constate des effets de cross talk et ghosting (apparition d'images fantômes).
Ces phénomènes sont très prononcés lorsqu'on pousse l'effet de profondeur (réglable) à son maximum. Seule réelle nouveauté (à moins qu'LG ne l'ai proposé sur l'Optimus 3D via mise à jour), l'Optimus 3D Max intègre un convertisseur qui permet d'obtenir un effet stéréoscopique avec n'importe quel jeu modélisé en 3D disponible sur le Market.
Autre changement d'ordre matériel cette fois : la prise micro HDMI native disparaît au profit d'une sortie MHL (sur micro USB).
Seuls vrais bénéfices : poids et épaisseur deviennent enfin raisonnables.
L'appareil tourne sur une version 2.3 d'Android (Gingerbread). L'Optimus 3D Max intègre 1 Go de RAM accompagnée d'une mémoire de stockage de 8 Go.
Côté multimédia, on pourra compter sur un double APN autofocus de 5 mégapixels accompagné d'un flash LED. L'attirail permettra de réaliser des photos ou des vidéos en 3D. L'Optimus 3D Max est équipé d'une batterie de 1520 mAh.
Paul-Emile Graff
Après être tombé dans la marmite des nouvelles technologies en trébuchant malencontreusement sur une GameBoy en 1990, j’ai pu observer de nombreux effets secondaires qui se sont intensifiés tout au l...
Après être tombé dans la marmite des nouvelles technologies en trébuchant malencontreusement sur une GameBoy en 1990, j’ai pu observer de nombreux effets secondaires qui se sont intensifiés tout au long des 23 années qui ont suivi.
Désormais, je suis doté d'extensions « naturelles » prenant les doux noms de smartphone, tablettes, PC, Macs, consoles vidéo, Media Centers, etc.
Mon système nerveux semble également avoir fait un bond en avant depuis que j'ai transformé ma maison en gruyère pour mettre en place une installation réseau gigabit tentaculaire. La suite au prochain épisode !
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