En marge du lancement de la GoPro Hero5 et du drone Karma, Nikon a profité du salon Photokina 2016 pour dévoiler lui aussi des caméras miniatures.
Le fabricant d'appareils photo s'est lancé sur ce segment en début d'année avec la KeyMission 360, une caméra filmant une sphère entière à 360 degrés, en réalité virtuelle. Il complète aujourd'hui la gamme des KeyMission 170 et KeyMission 80, qui offrent des angles de champ de respectivement 170 et 80 degrés.
La Nikon KeyMission 170 est une concurrente directe de la GoPro Hero5. Comme elle, elle est étanche jusqu'à 10 m et résistante aux chutes sans caisson supplémentaire. Comme elle, elle filme en « 4K » (en fait en Ultra HD) jusqu'à 30 i/s, bénéficie d'une stabilisation électronique et d'un écran LCD (ici non tactile). Il n'y a pas de service cloud tel que GoPro Plus, mais la connectivité Wi-Fi G permet de transférer automatiquement les fichiers vers un mobile ou vers un ordinateur, par le biais des applications SnapBridge.
En revanche, le capteur de 12 millions de pixels au format 1/2,3 pouce ne photographie pas au format RAW, et la caméra ne propose ni GPS, ni reconnaissance vocale.
KeyMission 80
La Nikon KeyMission 80 est quant à elle une caméra encore plus compacte, plus destinée à documenter des activités de plein air (randonnée, escalade...) que des aventures mouvementées. Le fabricant la présente comme une caméra « wearable », c'est-à-dire à porter sur soi.
Sa coque en aluminium est étanche à 1 m, résistante aux chutes de 1,5 m, et abrite deux appareils photo. Le dorsal est lui aussi un 12 mégapixels de 1/2,3 pouce, cette fois à stabilisation optique et à mise au point automatique (plutôt que fixe). Le frontal (auto-portrait) est un modeste 5 mégapixels de 1/5 pouce. On retrouve le Wi-Fi et le transfert automatique via SnapBridge.
Les Nikon KeyMission 360, 170 et 80 seront toutes les trois disponibles en France à partir du début du mois de novembre, aux prix publics respectifs de 500, 400 et 300 euros.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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