0
Selon SteelSeries, il s'agit de la « souris la plus personnalisable jamais présentée dans le secteur du jeu ». Dotée d'un processeur ARM 32 bits, la Sensei Mouse dispose d'une sensibilité et d'une précision accrues, et son capteur laser peut traiter jusqu'à 12 000 images par seconde, ce qui est très impressionnant à défaut d'être véritablement utile. L'autre intérêt de l'intégration d'un tel processeur, c'est que la souris fonctionne sans aucun pilote et gère elle-même ses calculs, indépendamment de l'ordinateur sur lequel elle est reliée : la Sensei ("Maître" en japonais) sera ainsi tout aussi efficace sur un ordinateur récent que sur un modèle plus ancien.
La hauteur du tracking est également ajustable, comme sur les souris Mamba et Imperator 4G de Razer. On trouve également, en vrac, la technologie SteelSeries FreeMove qui réalise automatiquement les corrections de trajectoire, l'enregistrement de macros avancées, et un paramétrage complet de la souris à travers les SteelSeries ExactTech, une série de 4 outils annoncés comme très précis pour adapter les performances du mulot à toutes les situations. Le tout peut être configuré via un écran LCD situé à l'arrière de la souris.
Pour en finir avec les personnalisations, la Sensei Mouse offre également la possibilité de choisir les couleurs du logo, de l'indicateur de tension et de la molette parmi 16,8 millions de couleurs, de sorte à la rendre vraiment unique. L'écran LCD à l'arrière peut également être personnalisé à l'aide d'un logo bitmap.
D'un poids de 102 grammes pour 38,7 x 68,3 x 125,5 mm, la Sensei Mouse affiche donc des caractéristiques ambitieuses. Elle est annoncée par SteelSeries au prix de 90 euros et sera disponible dans le commerce dans le courant du mois de septembre.
Journaliste mais geekette avant tout, je m'intéresse aussi bien à la dernière tablette innovante qu'aux réseaux sociaux, aux offres mobiles, aux périphériques gamers ou encore aux livres électroniques, sans oublier les gadgets et autres actualités insolites liées à l'univers du hi-tech. Et comme il n'y a pas que les z'Internets dans la vie, j'aime aussi les jeux vidéo, les comics, la littérature SF, les séries télé et les chats. Et les poneys, évidemment.
Lire d'autres articles
