BenQ a dévoilé ce qu'il présente comme le premier moniteur hybride. Le nouveau XL2420G offre à la fois la prise en charge de la technologie Nvidia G-Sync et les fonctionnalités habituelles des écrans de jeu du fabricant.
Associer G-Sync à d'autres fonctions peut paraitre anodin, mais malheureusement, c'est loin d'être le cas. Cette technologie de Nvidia, servant à synchroniser le rafraichissement d'un écran avec le framebuffer d'une carte graphique GeForce, repose sur un scaler spécifique, sur une carte électronique prête à l'emploi, qui ne laisse aucune marge de manœuvre au fabricant.
Pour inclure ses propres fonctions, BenQ a donc ajouté un second scaler à son écran. Le fabricant a ainsi rassemblé l'électronique de deux écrans différents dans un seul produit. S'il a pu relier deux scalers à une seule dalle, il n'est pas parvenu à combiner l'entrée DisplayPort (la seule prise en charge par le scaler G-Sync). Pour passer du mode G-Sync au mode Classic de BenQ, il ne suffira donc pas d'appuyer sur un bouton, il faudra débrancher et rebrancher un câble au dos de l'écran.
Quoi qu'il en soit, le mode Classic offre principalement :
Black eQualizer, une fonction qui éclaircit les zones sombres pour faciliter le repérage des ennemis,
Smart Scaling, qui simule des écrans plus petits et de définitions inférieures, pour les réactionnaires du FPS,
une fonction d'amélioration de la netteté des éléments en mouvement,
Display Pilot, qui permet d'adapter automatiquement les réglages de l'écran au lancement de différents jeux vidéo
Le BenQ XL2420G est par ailleurs un écran de jeu conventionnel, reposant sur une dalle TN Full HD (1920 x 1080 pixels) offrant un temps de réponse gris à gris de 1 ms et un taux de rafraichissement de 100, 120 ou 144 Hz. Il dispose d'une entrée DisplayPort 1.2 (reliée au scaler G-Sync), de deux entrées HDMI, d'une entrée DVI Dual Link, d'un hub USB 2.0 et d'entrées/sorties audio analogiques pour un micro-casque.
Cet écran sera mis en vente en France d'ici la fin du mois de janvier, pour la coquette somme de 600 euros.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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