Le premier moniteur AMD FreeSync du marché est en fait déjà commercialisé. Selon le revendeur britannique Overclockers UK, l'iiyama ProLite B2888UHSU-B1 pourra effectivement être mis à niveau pour prendre en charge cette technologie intronisée par VESA sous l'appellation Adaptive-Sync.
Initialement repérée par le site Internet allemand ComputerBase, la fiche produit mise à jour par ce distributeur indique qu'iiyama offrira un service de mise à niveau gratuite aux acquéreurs du ProLite B2888UHSU-B1, qui demandera toutefois une expédition du produit, aux frais du client.
Concepteur de cette alternative gratuite et universelle de la technologie Nvidia G-Sync, AMD avait vanté la mise en œuvre plus simple de sa solution, ne reposant pas sur des composants électroniques spécifiques. On peut donc se demander si la mise à niveau ne sera pas qu'une mise à jour de firmware et si les bidouilleurs ne pourront pas mener l'opération eux-mêmes.
Adaptive-Sync/FreeSync : une technologie d'autant plus précieuse en Ultra HD
Quoi qu'il en soit, la technologie Adaptive-Sync est particulièrement indiquée pour ce moniteur. Cet écran destiné aux joueurs repose sur une dalle TN offrant un temps de réponse minimal de 1 ms, mais il affiche en effet une définition Ultra HD. Il s'en tient par conséquent à un taux de rafraichissement de 60 Hz, puisqu'il est de toute manière difficile de dépasser cette cadence d'images avec une telle définition (en raison de la puissance de calcul colossale nécessaire). Dans ce contexte, cette technologie — qui permet de renforcer la sensation de fluidité en synchronisant le taux de rafraichissement de l'écran avec la cadence d'images de l'ordinateur — est plus que jamais bienvenue.
Et comme le soulève ComputerBase, ce premier écran FreeSync est vendu 150 euros de moins que son équivalent Nvidia G-Sync, l'Acer Predator XB280HK, par ailleurs identique en tout point.
L'iiyama ProLite B2888UHSU-B1, qui est par ailleurs un moniteur Ultra HD de 28 pouces comme beaucoup d'autres, est commercialisé en France à partir de 450 euros.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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