Coyote profite du Mondial de l'Automobile pour présenter des nouveautés, à commencer par un rafraichissement des assistants d'aide à la conduite, qui deviennent plus sécurisants.
Alors qu'il lançait jusqu'à présent un nouvel avertisseur de radars chaque année, le fabricant a décidé cette année de lever le pied. Il y a néanmoins du nouveau pour les Coyote S et Mini Coyote.
Pour commencer, les deux produits bénéficient depuis cet été d'une nouvelle révision matérielle. Le fabricant ne s'en est pas vanté, mais les appareils vendus depuis le mois de juillet bénéficient de composants plus modernes, avec de la mémoire eMMC à la place d'une carte mémoire microSD interne, mais aussi et surtout de nouveaux écrans. Ceux-ci délivrent des noirs plus profonds, donc un taux de contraste plus élevé, pour offrir un meilleur confort de nuit.
Si les apports précités ne profitent qu'aux nouveaux acquéreurs, Coyote a aussi lancé une refonte de l'interface, sous forme d'une mise à jour OTA. Le fabricant vient d'en commencer le déploiement sur les Coyote S et Coyote Mini déjà en circulation, elle sera donc téléchargée et installée automatiquement ces prochaines semaines.
Cette mise à jour apporte essentiellement un écran principal amélioré, qui affiche désormais deux jauges, de part et d'autre du compteur de vitesse, témoignant du niveau de protection de l'automobiliste. Le conducteur peut ainsi juger plus instinctivement du nombre d'éclaireurs qui le précèdent et de leur proximité. Il peut ainsi ajuster son niveau de vigilance si le premier éclaireur a 10 km d'avance sur lui, car il a alors plus de chance d'être le premier à rencontrer une situation à risque (un radar, un ralentissement, un accident...).
Last but not least, le nouveau firmware ajoute au Coyote S une fonction de téléphone mains-libres. On peut y connecter son téléphone en Bluetooth, puis passer des appels par le biais du haut-parleur et du microphone qu'il intègre.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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