Le futur du Tesla Roadster se précise. Le constructeur donnera un successeur au coupé originel avec lequel il s'est lancé et qu'il a produit à 2 500 exemplaires de 2008 à 2012. Son PDG Elon Musk l'a révélé il y a un an, comme souvent au détour d'une conférence. Et le responsable des pays nordiques l'a confirmé cette semaine lors d'une présentation dans un salon en Suède. L'occasion de récapituler ce qu'on sait à ce stade.
Pour commencer, la seconde génération du Tesla Roadster sera encore plus rapide qu'une Model S P90D. « Il y a un cran au-dessus de Ludicrous, » avait annoncé Elon Musk lors du lancement du mode d'accélération Démesuré de la P85D, « mais il est réservé à la prochaine génération du Roadster ». Ce futur mode d'accélération s'appellera « Maximum Plaid ».
Cette dénomination est une nouvelle fois tirée du film La folle histoire de l'espace (Spaceballs en version originale), une parodie de Star Wars réalisée par Mel Brooks et sortie en 1987. Le vaisseau y dépasse la vitesse de la lumière, en Ludicrous Speed, puis atteint un cran encore au dessus, avec lequel les étoiles qui défilent prennent feu et forment ainsi le motif d'un... plaid, d'une couverture à motif écossais !
Elon Musk disait déjà de l'accélération d'une Model S en mode Ludicrous qu'elle était plus rapide qu'un saut en chute libre d'un avion. Le futur nouveau Roadster promet d'être encore plus décoiffant. La Model S P90D fait pour rappel le 0 à 100 km/h en 3,0 s, aussi vite qu'une Ferrari LaFerrari ou qu'une Porsche 911 Turbo.
Le nouveau Tesla Roadster sera selon le représentant nordique « un peu plus rapide, un peu plus grand, et d'apparence un peu différente ». On sait depuis un an qu'il ne sera pas basé sur un châssis tiers, contrairement à la première génération qui était dérivée d'une Lotus Elise, mais sur la plateforme de troisième génération de Tesla, comme la Model 3.
Enfin, aux dernières nouvelles, le nouveau Tesla Roadster était attendu pour l'année 2019.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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