En prévision du lancement du Ford Edge, le constructeur américain assure la promotion du « système d'éclairage adaptatif » Dynamic LED qu'il a lancé l'année dernière sur la dernière génération des monospaces S-Max et Galaxy.
L'option Dynamic LED inclut, pour commencer, des feux de route anti-éblouissement. La caméra frontale détecte les phares et les feux arrières des véhicules ou des vélos jusqu'à 800 m afin d'occulter automatiquement les rayons dans leur direction. Le conducteur peut donc rester en « pleins phares » sans aveugler les autres usagers.
L'équipement permet aussi d'adapter la forme et l'intensité du faisceau à diverses situations de conduite, en fonction de la vitesse, de l'angle de braquage, de la distance avec le véhicule précédent ou encore des conditions climatiques (en lien avec le détecteur de pluie des essuie-glace automatiques).
Les phares Ford Dynamic LED sont à ce stade réservés aux derniers Ford S-Max, Galaxy et Edge en versions Titanium, c'est-à-dire sur le niveau de finition le plus élevé, avec lequel ils ne sont pas de série mais en option, à 1 250 euros.
Vers des feux encore plus futuristes
Ford développe en parallèle des feux encore plus futuristes.
Des caméras infrarouges complèteraient la caméra frontale pour détecter des piétons ou des animaux dans l'obscurité. Dès lors, deux spots orientables pourraient les éclairer tout en projetant sur la route une ligne dans leur direction. L'écran au niveau des instruments attirerait en outre l'attention du conducteur en encadrant les objets en jaune ou en rouge.
Encore plus inédit, la caméra frontale détecterait les panneaux signalant carrefours et ronds-points afin d'étendre le faisceau.
Ces technologies ne sont toutefois encore qu'à l'état de prototype et aucune date de commercialisation n'est encore communiquée.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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