La future Tesla Model 3 se dévoile encore un peu en amont de sa présentation à la fin du mois. Son gabarit, entre autres, se confirme.
Tesla Motors occupe le terrain à l'approche de la présentation, le 31 mars, du Model 3. Le fondateur et directeur technique du constructeur s'est effectivement livré à quelques nouvelles révélations lors d'une conférence sur l'énergie, la CERAWeek organisée par le cabinet d'analystes IHS, relayées par le site internet Fuelfix.
Pour commencer, JB Straubel a précisé que le gabarit de la Tesla Model 3 serait comparable à celui d'une Audi A4. La voiture 100% électrique abordable restera donc relativement encombrante, puisqu'elle appartiendra à la catégorie des familiales, au segment D de la classification de la commission européenne.
En Europe, les segments B et C (Renault Clio et Peugeot 308 par exemple) représentaient à eux seuls près de 45 % des ventes en 2015. La Model 3 n'atteint donc pas encore le marché de masse. Même si certains consommateurs basculeront sans doute sur un segment supérieur pour passer au 100% électrique.
Une nouvelle génération de voiture électrique
JB Straubel nous apprend par ailleurs que la Tesla Model 3 ne sera pas qu'une variante économique de la Model S. Elle inaugurera effectivement la « prochaine génération » de sa technologie. « Je pense que les gens seront surpris par le niveau de prestation qu'elle offrira, » a-t-il ajouté.
Entre autres déclarations, le dirigeant a par ailleurs abordé la problématique de l'impact écologique du lithium. Il a affirmé qu'il ne constituait en fait qu'une petite proportion des batteries utilisées par Tesla, que c'était une ressource abondante et même qu'on pourrait à l'avenir l'extraire de l'eau de mer. Certes, une voiture électrique ne rejette pas d'émissions polluantes en circulant, mais si on considère la totalité de la chaîne, le caractère écologique d'une voiture 100% électrique fait encore débat.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
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