Voici le nouveau Coyote Mini, successeur de l'avertisseur de radars le plus vendu du marché. Il propose un compromis intéressant entre la précédente entrée de gamme et le dernier haut de gamme : il reprend la compacité et la simplicité de l'un, l'interface et la modernité de l'autre.
On peut présenter le Coyote Mini comme une variante miniature du Coyote S. L'écran mesure 3,2 pouces, au lieu de 4. Il n'est pas tactile, mais on conserve les vrais boutons, plus intuitifs. Et il hérite de la reconnaissance vocale, qui permet de l'utiliser en maintenant les mains sur le volant (via la commande « activer Coyote »).
Il hérite aussi et surtout de l'interface du S, très fluide, et simplifiée pour s'adapter à l'écran plus petit. Il se passe essentiellement du mode carte, ainsi que naturellement des fonctions réalité augmentée et dashcam (boîte noire vidéo).
Le meilleur du Coyote S et du Mini Coyote Plus
Par rapport au Mini Coyote Plus qu'il remplace, le Coyote Mini accueille ainsi l'affichage des alertes à venir sur 30 km, il précise le type de perturbation rencontrée (bouchon, véhicule arrêté...), et permet d'en déclarer dans le sens opposé. Il accueille aussi l'alerte somnolence (il prévient simplement si on ne s'arrête pas sur une période prolongée). Il passe aussi de la 2G à la 3G, et se dote du Bluetooth, qui permet de déporter les alertes du haut-parleur intégré vers un autoradio ou vers un casque de moto compatible.
Le nouveau Coyote Mini est disponible dès à présent sur le site internet du fabricant. Il est vendu 150 euros, 50 de plus que son prédécesseur à la fin de sa carrière. Il faut en plus un abonnement de 10 à 12 euros/mois. C'est le prix à payer pour rejoindre une communauté de 4,8 millions d'automobilistes.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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