Orion est une mission spatiale qui a pour vocation de succéder à Apollo, un programme mené par les USA entre 1961 et 1975, et qui a notamment permis à l'homme de marcher pour la première fois sur la Lune en 1969. Le but est ici, à terme, de proposer un vol habité jusqu'à la planète Mars, à échéance 2030.
Avant cela, de nombreux essais vont être réalisés sur le vaisseau spatial, qui a déjà subi des tests en fin d'année dernière (voir Conquête spatiale : nouveau départ pour Orion vendredi à 13h05). L'une des étapes à franchir avant un vol vers Mars consiste bien sûr en des premiers vols habités, aux alentours de notre planète, puis autour de notre satellite la Lune ou à destination d'un astéroïde.
Attendu initialement pour 2021, ce premier vol habité a été reporté par la NASA hier, par mesure de prudence. Les incertitudes sont en effet importantes à plusieurs égards.
D'une part, la partie software embarquée à l'intérieur de la capsule est encore sujette à caution : « En raison des problèmes rencontrés par la NASA dans le passé, nous préférons rester prudents » quant à la date à laquelle sera prêt le module.
Par ailleurs, ce projet est particulièrement dépendant des financements, ce dernier étant sujet, comme bien d'autres, au conflit qui oppose l'administration Obama et le Congrès, à majorité républicaine.
« Une fois de plus, l'administration Obama choisit de retarder les priorités d'exploration de l'espace profond telles qu'Orion et le Space Launch System qui transporteront les astronautes américains sur la Lune, Mars et au-delà », a ainsi déclaré le républicain Lamar Smith, en sa qualité de président de la commission sur la science, l'espace et la technologie à la Chambre de représentants.
La NASA a déjà dépensé 4,7 milliards de dollars sur ce projet, et devrait encore investir quelque 6,7 milliards de dollars supplémentaires pour aboutir au premier vol habité d'Orion.
Conquête spatiale : nouveau départ pour Orion vendredi à 13h05
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Mes domaines de prédilection ? Les ordinateurs portables et les SSD ! Mais de temps à autre, je m'autorise quelques infidélités pour des boîtiers, des alimentations ou des solutions de refroidissement, tests dont je suis particulièrement friand. Je déteste l'expression "Le mieux est l'ennemi du bien" (notamment lorsqu'il s'agit de rendre mon PC silencieux), les livreurs qui arrivent sans bordereau et les coups de pieds de Polo sous le bureau. J'aime réussir mes photos-produit, améliorer les protocoles de test et cocher la case "Public" de notre interface d'édition. Féru de football, je m'essaie également à la photographie à mes heures perdues et ne recule jamais devant une petite partie de poker. Le tout saupoudré de beaucoup, beaucoup de musique.
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