L'initiative OSVR a profité cette semaine de l'E3 pour présenter le HDK 2, un casque de réalité virtuelle prometteur à seulement 400 dollars.
Le HDK de seconde génération bénéficie de nouveaux écrans avec lesquels il revendique une expérience visuelle « de même niveau » que les HTC Vive et Oculus Rift. Les trois modèles sont en réalité quasi identiques sur le plan matériel. Ils offrent tous trois un écran OLED de 2160 x 1200 pixels à 90 Hz et à faible persistance (1080 x 1200 pixels par œil), un champ de vision de 110 degrés et un suivi de position.
Ils se distinguent essentiellement par les accessoires fournis et par l'offre logicielle. Sur ce point, la spécificité du HDK est justement d'être livré sans accessoire et de n'être associé à aucun logiciel spécifique.
C'est qu'OSVR signifie open source virtual reality. Il s'agit d'une initiative - portée par Razer, Sensics et dans une moindre mesure par Intel ou Leap Motion - visant à développer une plateforme de réalité virtuelle universelle. Les casques OSVR seront compatibles avec n'importe quelle manette et plateforme de réalité virtuelle. Contrairement à l'Oculus Rift, indissociable d'Oculus Home, et au HTC Vive, étroitement lié à SteamVR. Comme des consoles de jeu, ces deux casques bénéficieront et donc souffriront d'exclusivités.
Mais le HDK 2, pour hacker development kit est comme son nom l'indique destinés aux développeurs. Il sera bien commercialisé auprès des consommateurs, mais les médias qui ont pu le saisir à Los Angeles témoignent d'un niveau de finition en retrait. C'est que ce n'est qu'un design de référence, destiné à démontrer les capacités de la solution.
Selon un représentant de Razer interrogé par TechCrunch, il y a « une forte probabilité » que le fabricant de périphériques de jeu fasse un casque de réalité virtuelle dans le futur.
Attendu au mois de juillet pour 400 dollars, cet OSVR HDK 2 reste une alternative intéressante pour ceux qui veulent expérimenter la réalité virtuelle à moindre frais. Le HDK 1.4 passera pour l'occasion à 300 dollars.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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