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Déjà palme d'Or 2004 des trophées de la répression sur le Net décernés par Reporters sans Frontières, la Chine semble désormais vouloir contrôler les contenus des SMS transmis sur son territoire.
Selon une information diffusée vendredi dernier par l'agence de presse Xinhua (www.xinhua.org), les autorités chinoises auraient l'intention d'utiliser une nouvelle technologie qui permettrait d'assurer la surveillance de milliards de ces messages 'texte' courts.
En Chine, le secteur de la téléphonie mobile est actuellement dominé par deux géants, les opérateurs China Mobile et China Unicom.
A travers la surveillance des SMS (short message service), la Chine dirigée par Hu JINTAO aurait pour ambition officielle de limiter les messages "frauduleux, obscènes et pornographiques" qui ont infiltré les contenus numériques.
Surveillance et répression demeurent dans la Chine contemporaine. En juin 2004, toujours selon Xinhua (Chine Nouvelle), le gouvernement chinois aurait suspendu l'attribution de nouvelles licences permettant aux cafés Internet et aux discothèques de pratiquer leurs activités respectives.
A l'heure actuelle, d'après le ministère chinois de l'information et de l'industrie, le pays abrite 70 millions d'internautes et près de 300 millions d'abonnés 'mobiles'.
De l'électronique grand public aux télécommunications, le potentiel de croissance économique de la Chine, pays de plus de 1,3 milliard d'habitants, est énorme. Espérons qu'il soit bénéfique...
Selon une information diffusée vendredi dernier par l'agence de presse Xinhua (www.xinhua.org), les autorités chinoises auraient l'intention d'utiliser une nouvelle technologie qui permettrait d'assurer la surveillance de milliards de ces messages 'texte' courts.
En Chine, le secteur de la téléphonie mobile est actuellement dominé par deux géants, les opérateurs China Mobile et China Unicom.
A travers la surveillance des SMS (short message service), la Chine dirigée par Hu JINTAO aurait pour ambition officielle de limiter les messages "frauduleux, obscènes et pornographiques" qui ont infiltré les contenus numériques.
Surveillance et répression demeurent dans la Chine contemporaine. En juin 2004, toujours selon Xinhua (Chine Nouvelle), le gouvernement chinois aurait suspendu l'attribution de nouvelles licences permettant aux cafés Internet et aux discothèques de pratiquer leurs activités respectives.
A l'heure actuelle, d'après le ministère chinois de l'information et de l'industrie, le pays abrite 70 millions d'internautes et près de 300 millions d'abonnés 'mobiles'.
De l'électronique grand public aux télécommunications, le potentiel de croissance économique de la Chine, pays de plus de 1,3 milliard d'habitants, est énorme. Espérons qu'il soit bénéfique...
