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Les dirigeants des TPE restent optimistes malgré la conjoncture, d'après les résultats du 5ème baromètre trimestriel Fiducial / IFOP présenté mi-janvier.
Fiducial, fournisseur de services pluridisciplinaires aux très petites entreprises, et l'IFOP, Institut français d'opinion publique, publient leur 5ème baromètre trimestriel sur les TPE.
Cette enquête a été réalisée par téléphone du 13 au 19 décembre 2001 auprès d'un échantillon «représentatif» de 1010 dirigeants de TPE de 0 à 19 salariés.
Ces dirigeants de TPE restent globalement optimistes malgré les difficultés conjoncturelles.
«Il est grand temps de considérer et d'apprécier le rôle de régulateur et d'amortisseur des sursauts de l'économie que jouent les TPE», remarque Raymond BETHOUX Vice-président de Fiducial International.
41% des dirigeants de TPE interrogés déclarent avoir eu connaissance des dispositions relatives au Prêt à la Création d'Entreprise (PCE) lancé en 2001 par le gouvernement.
En revanche, ils ne sont que 10% à juger «important» sa contribution au développement de la création d'entreprise. De plus, 2% seulement des TPE disent avoir envisagé de recourir à ce prêt.
12,5% des dirigeants de TPE estiment qu'Alain MADELIN est le responsable politique le plus apte à prendre en compte les problèmes des très petites entreprises. Jacques CHIRAC arrive en seconde position (8,5% des citations), puis Jean-Pierre CHEVENEMENT (6,5%) et Lionel JOSPIN (6%).
A noter : 51% des personnes interrogées n'indiquent aucune personnalité politique.
61% des dirigeants de TPE déclarent une situation financière stable, 19% une amélioration, et 18% une détérioration de cette situation.
En septembre dernier, 13% des responsables de TPE envisageaient embaucher, en décembre une grande majorité d'entre eux ont effectivement embauché (11 points).
Enfin, le taux d'équipement informatique des TPE a augmenté de 8 points en une année (62% en décembre 2000 , 70% à la même période en 2001).
Pour conclure, avec l'arrivée des 35 heures les dirigeants de TPE redoutent : des problèmes d'organisation et de gestion du personnel (50%), d'augmentation des coûts salariaux (43%) et de baisse de productivité et de chiffre d'affaires (38 et 39%).
Fiducial, fournisseur de services pluridisciplinaires aux très petites entreprises, et l'IFOP, Institut français d'opinion publique, publient leur 5ème baromètre trimestriel sur les TPE.
Cette enquête a été réalisée par téléphone du 13 au 19 décembre 2001 auprès d'un échantillon «représentatif» de 1010 dirigeants de TPE de 0 à 19 salariés.
Ces dirigeants de TPE restent globalement optimistes malgré les difficultés conjoncturelles.
«Il est grand temps de considérer et d'apprécier le rôle de régulateur et d'amortisseur des sursauts de l'économie que jouent les TPE», remarque Raymond BETHOUX Vice-président de Fiducial International.
41% des dirigeants de TPE interrogés déclarent avoir eu connaissance des dispositions relatives au Prêt à la Création d'Entreprise (PCE) lancé en 2001 par le gouvernement.
En revanche, ils ne sont que 10% à juger «important» sa contribution au développement de la création d'entreprise. De plus, 2% seulement des TPE disent avoir envisagé de recourir à ce prêt.
12,5% des dirigeants de TPE estiment qu'Alain MADELIN est le responsable politique le plus apte à prendre en compte les problèmes des très petites entreprises. Jacques CHIRAC arrive en seconde position (8,5% des citations), puis Jean-Pierre CHEVENEMENT (6,5%) et Lionel JOSPIN (6%).
A noter : 51% des personnes interrogées n'indiquent aucune personnalité politique.
61% des dirigeants de TPE déclarent une situation financière stable, 19% une amélioration, et 18% une détérioration de cette situation.
En septembre dernier, 13% des responsables de TPE envisageaient embaucher, en décembre une grande majorité d'entre eux ont effectivement embauché (11 points).
Enfin, le taux d'équipement informatique des TPE a augmenté de 8 points en une année (62% en décembre 2000 , 70% à la même période en 2001).
Pour conclure, avec l'arrivée des 35 heures les dirigeants de TPE redoutent : des problèmes d'organisation et de gestion du personnel (50%), d'augmentation des coûts salariaux (43%) et de baisse de productivité et de chiffre d'affaires (38 et 39%).
