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Le web mobile s'organise. Sous l'impulsion du constructeur Nokia, de l'opérateur Vodafone et de l'éditeur Microsoft, de nombreux industriels de l'internet mobile et de la téléphonie cellulaire ont décidé de constituer un joint-venture dont l'objectif sera de promouvoir une extension spécifique pour les sites mobiles.
Provisoirement baptisé ".mtld" pour "mobile top level domain", cette nouvelle extension, qui devrait prochainement être présentée à l'ICANN, l'organisme chargé de centraliser les noms de domaines, pourrait donc faire de l'ombre aux célèbres .com, .net, .org et autres .fr.
Derrière cette extension pourrait également être proposées des recommandations visant à optimiser la création de sites internet mobile autour de standards communs tels que les langages de description de page (iHTML, le HTML et le WML) ou encore les résolutions d'écrans.
Malgré les efforts de rationalisation des opérateurs avec leurs portails mobiles multimédia et surtout des éditeurs de systèmes d'exploitation mobiles (Windows Mobile ou Nokia Series 60), l'internet mobile reste pour le moment bien plus hétérogène que le web alors qu'il prétend toucher une population probablement moins technophile que les internautes.
Reste à espérer que cet énième nom de domaine ne relance par la course au cybersquatting et qu'il se fera dans le respect du droit des marques défini par l'OMPI.
Provisoirement baptisé ".mtld" pour "mobile top level domain", cette nouvelle extension, qui devrait prochainement être présentée à l'ICANN, l'organisme chargé de centraliser les noms de domaines, pourrait donc faire de l'ombre aux célèbres .com, .net, .org et autres .fr.
Derrière cette extension pourrait également être proposées des recommandations visant à optimiser la création de sites internet mobile autour de standards communs tels que les langages de description de page (iHTML, le HTML et le WML) ou encore les résolutions d'écrans.
Malgré les efforts de rationalisation des opérateurs avec leurs portails mobiles multimédia et surtout des éditeurs de systèmes d'exploitation mobiles (Windows Mobile ou Nokia Series 60), l'internet mobile reste pour le moment bien plus hétérogène que le web alors qu'il prétend toucher une population probablement moins technophile que les internautes.
Reste à espérer que cet énième nom de domaine ne relance par la course au cybersquatting et qu'il se fera dans le respect du droit des marques défini par l'OMPI.
