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Après enquête, la Commission européenne se prononce en faveur de la libéralisation des droits de retransmission multimédia des matches de foot allemands.
La Commission européenne est prête à conclure son enquête sur la libéralisation des ventes centralisées de droits de retransmission des matches de la Bundesliga.
Après que la Ligue allemande de football (Ligaverband) ait décidé de modifier le mode de vente des droits de retransmission du championnat, Bruxelles a ouvert une enquête sur ce dossier "chaud" entre sport, diffusion multimédia et "gros sous".
Dans un communiqué mis en ligne sur le portail de l'UE (http://europa.eu.int/) le 17 septembre 2004, l'exécutif européen a déclaré la conclusion de son enquête "foot" imminente.
La modification initiée par la Ligue allemande "favorise la libéralisation des droits de retransmission notamment vers les nouveaux médias", a souligné l'exécutif européen. "Dans ce contexte, davantage de matches pourront être retransmis en direct et proposés aux supporters", a ajouté Bruxelles.
Visiblement satisfaite, la Commission européenne a publié un projet de "compromis", texte préparatoire à l'adoption d'une décision qui oblige les parties concernées à respecter leurs engagements.
"L'accroissement du nombre de droits de retransmission multimédia en direct aura des répercussions positives tant pour les consommateurs que pour les médias et les clubs", a affirmé Mario MONTI, commissaire européen chargé de la concurrence.
Celui-ci a insisté : "Les contenus sportifs de qualité sont déterminants pour permettre aux nouveaux médias, lnternet haut débit et téléphonie mobile de troisième génération en particulier, de trouver leur marché".
Résultat, dès la saison 2006-2007, la Ligue allemande devrait pouvoir proposer sur Internet au moins 90 minutes de direct par journée de championnat. Par ailleurs, chaque club allemand sera autorisé à vendre à un opérateur mobile le droit de couvrir en direct ses matches joués à domicile, mais aussi de commercialiser ces mêmes matches immédiatement après la fin des parties.
Un exemple à suivre en France ?
La Commission européenne est prête à conclure son enquête sur la libéralisation des ventes centralisées de droits de retransmission des matches de la Bundesliga.
Après que la Ligue allemande de football (Ligaverband) ait décidé de modifier le mode de vente des droits de retransmission du championnat, Bruxelles a ouvert une enquête sur ce dossier "chaud" entre sport, diffusion multimédia et "gros sous".
Dans un communiqué mis en ligne sur le portail de l'UE (http://europa.eu.int/) le 17 septembre 2004, l'exécutif européen a déclaré la conclusion de son enquête "foot" imminente.
La modification initiée par la Ligue allemande "favorise la libéralisation des droits de retransmission notamment vers les nouveaux médias", a souligné l'exécutif européen. "Dans ce contexte, davantage de matches pourront être retransmis en direct et proposés aux supporters", a ajouté Bruxelles.
Visiblement satisfaite, la Commission européenne a publié un projet de "compromis", texte préparatoire à l'adoption d'une décision qui oblige les parties concernées à respecter leurs engagements.
"L'accroissement du nombre de droits de retransmission multimédia en direct aura des répercussions positives tant pour les consommateurs que pour les médias et les clubs", a affirmé Mario MONTI, commissaire européen chargé de la concurrence.
Celui-ci a insisté : "Les contenus sportifs de qualité sont déterminants pour permettre aux nouveaux médias, lnternet haut débit et téléphonie mobile de troisième génération en particulier, de trouver leur marché".
Résultat, dès la saison 2006-2007, la Ligue allemande devrait pouvoir proposer sur Internet au moins 90 minutes de direct par journée de championnat. Par ailleurs, chaque club allemand sera autorisé à vendre à un opérateur mobile le droit de couvrir en direct ses matches joués à domicile, mais aussi de commercialiser ces mêmes matches immédiatement après la fin des parties.
Un exemple à suivre en France ?
