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Malgré ses très nombreuses fonctionnalités, la Nokia N-Gage, un hybride mi-téléphone mi-console de jeu, n'aurait séduit que 600.000 personnes en 2003...
La Nintendo Gameboy n'est pas encore menacée... Malgré ses très nombreuses fonctionnalités, la Nokia N-Gage, un hybride mi-téléphone mi-console de jeu, n'aurait séduit selon Nokia que 600.000 personnes sur les trois derniers mois de 2003, malgré une puissante campagne de communication du numéro un mondial du téléphone mobile lors des fêtes de fin d'année. Même si Nokia reconnaît devoir faire quelques "ajustements", le constructeur affirme continuer de croire dans la valeur apportée par la mobilité au marché du jeu et maintient ses objectifs de vente en 2004.
Au-delà des solutions matérielles discutables retenues par Nokia, l'un des principaux défauts de la N-Gage est d'avoir été commercialisée avec un nombre de jeux limité, d'une quinzaine de titres au 31 décembre. Ce chiffre devrait toutefois atteindre les 50 d'ici la fin 2004 avec notamment des jeux édités par Nokia lui-même.
Selon Nokia, ce sont les jeux en réseau qui se vendent le mieux. Ces jeux s'appuient sur un réseau local bluetooth ou sur la plate-forme de jeu en ligne N-Gage Arena, rachetée l'année dernière au japonais Sega.
Même si la N-Gage n'a pas encore atteint les volumes attendus, il faut enfin noter que la plate-forme logicielle Series 60 + Symbian utilisée sur cet appareil est également présente sur d'autres mobiles de la marque (7650, 3650, 6600) ainsi que sur des mobiles Siemens, Samsung ou encore Sendo dont le volume de ventes total flirte désormais avec les 10 millions d'unités.
Même si les 100 millions d'unités vendues de la GameBoy sont encore difficiles à égaler, la plate-forme de la N-Gage devrait donc très rapidement s'imposer dans l'industrie du jeu.
Jérôme Bouteiller
La Nintendo Gameboy n'est pas encore menacée... Malgré ses très nombreuses fonctionnalités, la Nokia N-Gage, un hybride mi-téléphone mi-console de jeu, n'aurait séduit selon Nokia que 600.000 personnes sur les trois derniers mois de 2003, malgré une puissante campagne de communication du numéro un mondial du téléphone mobile lors des fêtes de fin d'année. Même si Nokia reconnaît devoir faire quelques "ajustements", le constructeur affirme continuer de croire dans la valeur apportée par la mobilité au marché du jeu et maintient ses objectifs de vente en 2004.
Au-delà des solutions matérielles discutables retenues par Nokia, l'un des principaux défauts de la N-Gage est d'avoir été commercialisée avec un nombre de jeux limité, d'une quinzaine de titres au 31 décembre. Ce chiffre devrait toutefois atteindre les 50 d'ici la fin 2004 avec notamment des jeux édités par Nokia lui-même.
Selon Nokia, ce sont les jeux en réseau qui se vendent le mieux. Ces jeux s'appuient sur un réseau local bluetooth ou sur la plate-forme de jeu en ligne N-Gage Arena, rachetée l'année dernière au japonais Sega.
Même si la N-Gage n'a pas encore atteint les volumes attendus, il faut enfin noter que la plate-forme logicielle Series 60 + Symbian utilisée sur cet appareil est également présente sur d'autres mobiles de la marque (7650, 3650, 6600) ainsi que sur des mobiles Siemens, Samsung ou encore Sendo dont le volume de ventes total flirte désormais avec les 10 millions d'unités.
Même si les 100 millions d'unités vendues de la GameBoy sont encore difficiles à égaler, la plate-forme de la N-Gage devrait donc très rapidement s'imposer dans l'industrie du jeu.
Jérôme Bouteiller
