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Après avoir déposé plainte aux Etats-Unis contre 261 particuliers en septembre 2003, puis 80 en octobre, et enfin 532 fin janvier 04, la RIAA (Recording Industry Association of America) a lancé le 17 février 04 de nouvelles plaintes dans le cadre de sa campagne contre la copie illégale de fichiers musicaux.
A travers cette campagne virulente, l'organisation américaine de défense des intérêts de l'industrie du disque et ses membres, Warner Music Group, Universal Music, Sony Music, EMI et BMG, ne cherchent pas exclusivement à faire respecter les droits sur la propriété intellectuelle et le droit d'auteur.
Les majors du disque, à l'heure du probable rapprochement entre Sony et BMG, ont bien l'intention d'imposer leur modèle économique sur le marché du téléchargement en ligne de musique, à travers leurs propres circuits et des plates-formes payantes telles i-Tunes d'Apple.
Les réseaux Peer-to-Peer d'échanges gratuits de fichiers musicaux sont montrés du doigt. Depuis septembre 2003, la RIAA porte plainte contre les particuliers soupçonnés d'avoir diffusé en ligne « des milliers de titres de musique » chacun sans autorisation, à travers des sites comme KaZaA, ce dernier est actuellement dans un bras de fer judiciaire contre la RIAA et la MPAA.
Si la RIAA a déjà porté plainte contre des réseaux P2P, elle a mis l'an dernier ses menaces à exécution en poursuivant en justice de façon individuelle des personnes physiques.
Les plaintes de la RIAA du mois de février 2004 concernent 531 internautes. Elles ont été déposées au civil devant plusieurs tribunaux fédéraux à Atlanta, Orlando, Philadelphie et Trenton.
« Les services légaux de musique en ligne ne doivent pas être concurrencés par des activités basées sur le téléchargement illégal », a insisté dans un communiqué, Cary SHERMAN, Président de la RIAA.
A travers cette campagne virulente, l'organisation américaine de défense des intérêts de l'industrie du disque et ses membres, Warner Music Group, Universal Music, Sony Music, EMI et BMG, ne cherchent pas exclusivement à faire respecter les droits sur la propriété intellectuelle et le droit d'auteur.
Les majors du disque, à l'heure du probable rapprochement entre Sony et BMG, ont bien l'intention d'imposer leur modèle économique sur le marché du téléchargement en ligne de musique, à travers leurs propres circuits et des plates-formes payantes telles i-Tunes d'Apple.
Les réseaux Peer-to-Peer d'échanges gratuits de fichiers musicaux sont montrés du doigt. Depuis septembre 2003, la RIAA porte plainte contre les particuliers soupçonnés d'avoir diffusé en ligne « des milliers de titres de musique » chacun sans autorisation, à travers des sites comme KaZaA, ce dernier est actuellement dans un bras de fer judiciaire contre la RIAA et la MPAA.
Si la RIAA a déjà porté plainte contre des réseaux P2P, elle a mis l'an dernier ses menaces à exécution en poursuivant en justice de façon individuelle des personnes physiques.
Les plaintes de la RIAA du mois de février 2004 concernent 531 internautes. Elles ont été déposées au civil devant plusieurs tribunaux fédéraux à Atlanta, Orlando, Philadelphie et Trenton.
« Les services légaux de musique en ligne ne doivent pas être concurrencés par des activités basées sur le téléchargement illégal », a insisté dans un communiqué, Cary SHERMAN, Président de la RIAA.
