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Les services du Premier ministre et l'AFUL organisent «la première journée du logiciel libre» dans l'Administration.
La Mission interministérielle de soutien technique pour le développement des technologies de l'information et de la communication dans l'administration (MTIC) et l'AFUL (Association française des utilisateurs de Linux) ouvraient hier la première «journée du logiciel libre» dans l'Administration.
Responsables d'administrations, directeurs informatiques et une quinzaine d'industriels étaient présents.
L'objectif d'une telle journée est de faire découvrir les solutions offertes par les logiciels libres de la gestion d'un site à la consolidation d'un serveur, de rassurer les différents acteurs et de développer l'intérêt pour le standard ouvert.
Stéfane FERMIGIER, président de l'AFUL remarque : «Se tourner vers le standard ouvert facilitera le passage vers l'usage du logiciel libre.» Faire le choix du «libre» c'est : rendre les administrations indépendantes d'un prestataire unique en adoptant un standard ouvert et non propriétaire.
Le gouvernement comprend l'intérêt du logiciel libre (gratuité, pérennité des formats, sécurité via la publication des codes sources) et invite les administrations à lancer des appels d'offres ouverts et à choisir leurs prestataires pour la qualité, la pérennité et le coût de l'offre proposée.
Les ministères de l'Education nationale, de la Défense, de l'Intérieur et de la Culture ont déjà adopté cette formule. Quant à la Direction Générale des Impôts, elle optait pour Linux (Red Hat 6.2) en décembre dernier afin d'exploiter ses 950 serveurs répartis sur le territoire français.
Stéfane FERMIGIER est confiant : "même si nous ne sommes pas au niveau de certains pays européens qui présentent des projets de loi sur l'usage des standards ouverts, les choses ont bien progressé en France."
La MTIC pour sa part dit vouloir multiplier les rencontres. La publication prochaine du rapport Carcenac devrait également ouvrir de nouvelles pistes.
La Mission interministérielle de soutien technique pour le développement des technologies de l'information et de la communication dans l'administration (MTIC) et l'AFUL (Association française des utilisateurs de Linux) ouvraient hier la première «journée du logiciel libre» dans l'Administration.
Responsables d'administrations, directeurs informatiques et une quinzaine d'industriels étaient présents.
L'objectif d'une telle journée est de faire découvrir les solutions offertes par les logiciels libres de la gestion d'un site à la consolidation d'un serveur, de rassurer les différents acteurs et de développer l'intérêt pour le standard ouvert.
Stéfane FERMIGIER, président de l'AFUL remarque : «Se tourner vers le standard ouvert facilitera le passage vers l'usage du logiciel libre.» Faire le choix du «libre» c'est : rendre les administrations indépendantes d'un prestataire unique en adoptant un standard ouvert et non propriétaire.
Le gouvernement comprend l'intérêt du logiciel libre (gratuité, pérennité des formats, sécurité via la publication des codes sources) et invite les administrations à lancer des appels d'offres ouverts et à choisir leurs prestataires pour la qualité, la pérennité et le coût de l'offre proposée.
Les ministères de l'Education nationale, de la Défense, de l'Intérieur et de la Culture ont déjà adopté cette formule. Quant à la Direction Générale des Impôts, elle optait pour Linux (Red Hat 6.2) en décembre dernier afin d'exploiter ses 950 serveurs répartis sur le territoire français.
Stéfane FERMIGIER est confiant : "même si nous ne sommes pas au niveau de certains pays européens qui présentent des projets de loi sur l'usage des standards ouverts, les choses ont bien progressé en France."
La MTIC pour sa part dit vouloir multiplier les rencontres. La publication prochaine du rapport Carcenac devrait également ouvrir de nouvelles pistes.
