0
La déroute de la société de Jeux Vidéo Kalisto serait due à la défection de Wanadoo.. qui aurait néanmoins manifesté son intention de racheter l'éditeur
Cruelle leçon de réalisme pour Nicolas GAUME, le charismatique PDG fondateur de Kalisto. Malgré sa fréquentation assidue des hautes sphères du Medef, il semble qu'il ait été victime d'une opération capitalistique dans la plus pure tradition anglo-saxonne.
Considéré encore recemment comme l'un des fleurons français du jeu vidéo, Kalisto avait dû reconnaitre que son chiffre d'affaire 2000 serait de 9 millions de francs, très loin des 170 millions attendus, en raison de l'échec d'un contrat avec un partenaire stratégique, malgré des engagements écrits.
Or le quotidien les Echos indique que le groupe à l'origine de la déroute de l'éditeur de jeux serait Wanadoo, la filiale internet de , assez active dans l'édition de jeux, et qui avait manifesté son intérêt pour la plate-forme de jeux en ligne de Kalisto.
Le comble serait que Wanadoo pourrait tout simplement racheter Kalisto, grâce à l'effondrement du cours boursier de la société, consécutif au non respect de ses engagements.
Avec une capitalisation de 12 millions d'euros contre 2 milliards en Mai 2000, Kalisto devient donc une proie facile face à un Wanadoo dont le cours a lui même chuté de plus de 70% depuis son introduction.
Cruelle leçon de réalisme pour Nicolas GAUME, le charismatique PDG fondateur de Kalisto. Malgré sa fréquentation assidue des hautes sphères du Medef, il semble qu'il ait été victime d'une opération capitalistique dans la plus pure tradition anglo-saxonne.
Considéré encore recemment comme l'un des fleurons français du jeu vidéo, Kalisto avait dû reconnaitre que son chiffre d'affaire 2000 serait de 9 millions de francs, très loin des 170 millions attendus, en raison de l'échec d'un contrat avec un partenaire stratégique, malgré des engagements écrits.
Or le quotidien les Echos indique que le groupe à l'origine de la déroute de l'éditeur de jeux serait Wanadoo, la filiale internet de , assez active dans l'édition de jeux, et qui avait manifesté son intérêt pour la plate-forme de jeux en ligne de Kalisto.
Le comble serait que Wanadoo pourrait tout simplement racheter Kalisto, grâce à l'effondrement du cours boursier de la société, consécutif au non respect de ses engagements.
Avec une capitalisation de 12 millions d'euros contre 2 milliards en Mai 2000, Kalisto devient donc une proie facile face à un Wanadoo dont le cours a lui même chuté de plus de 70% depuis son introduction.
