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Sud-coréen ou Californien ? Désormais troisième constructeur mondial derrière le finlandais Nokia et l'américain avec environ 12% de parts de marché, le constructeur sud-coréen Samsung mise sur son "FunClub" pour fidéliser ses clients.
Lancé dès 1998 en Corée, le Samsung Fun Club compte aujourd'hui plus de 2.700.000 abonnés à travers le monde et Samsung souhaite atteindre le seuil des 5 millions fin 2004, en bénéficiant de la communication autour des jeux olympiques d'Athènes, dont Samsung est l'un des principaux sponsors.
Outil communautaire et showroom pour les derniers produits Samsung, ce SFC est avant tout dédié au téléchargement premium d'images, de mélodies et de jeux, en particulier pour des nouveaux produits comme le SGH-D410, un médiaphone disposant de sonneries polyphoniques 64 tons et d'images 260.000 couleurs, nécessitant des contenus spécifiques.
A quelques semaines de l'ouverture des réseaux UMTS et fort de l'expérience acquise depuis 18 mois en Corée du Sud dans la 3G, Samsung travaille également sur le lancement de nouveaux contenus comme de la musique (fichiers MP3 sécurisés ), des vidéos, du streaming live et peut-être des logiciels pour accompagner l'arrivée de ses Smartphones PalmSource, symbian ou windows mobile.
Souhaitant se donner une image "fun", Samsung devrait même disposer d'accords exclusifs avec des marques comme Quicksilver (surf, skate) ou le DJ Bob Sinclar, afin de produire des contenus images, sons et vidéos en rapport avec le monde des sports de glisse ou de la musique.
Conglomérat industriel né dans les années 60 dans une Corée du Sud épuisée par un demi-siècle d'occupation japonaise et une guerre fratricide avec la Corée du Nord, Samsung assume donc son nouveau statut de champion des loisirs numériques et mise, comme ses principaux concurrents, sur le divertissement pour attirer et fidéliser ses clients. Les gourous du marketing auraient-ils définitivement pris le dessus sur les ingénieurs ?
Lancé dès 1998 en Corée, le Samsung Fun Club compte aujourd'hui plus de 2.700.000 abonnés à travers le monde et Samsung souhaite atteindre le seuil des 5 millions fin 2004, en bénéficiant de la communication autour des jeux olympiques d'Athènes, dont Samsung est l'un des principaux sponsors.
Outil communautaire et showroom pour les derniers produits Samsung, ce SFC est avant tout dédié au téléchargement premium d'images, de mélodies et de jeux, en particulier pour des nouveaux produits comme le SGH-D410, un médiaphone disposant de sonneries polyphoniques 64 tons et d'images 260.000 couleurs, nécessitant des contenus spécifiques.
A quelques semaines de l'ouverture des réseaux UMTS et fort de l'expérience acquise depuis 18 mois en Corée du Sud dans la 3G, Samsung travaille également sur le lancement de nouveaux contenus comme de la musique (fichiers MP3 sécurisés ), des vidéos, du streaming live et peut-être des logiciels pour accompagner l'arrivée de ses Smartphones PalmSource, symbian ou windows mobile.
Souhaitant se donner une image "fun", Samsung devrait même disposer d'accords exclusifs avec des marques comme Quicksilver (surf, skate) ou le DJ Bob Sinclar, afin de produire des contenus images, sons et vidéos en rapport avec le monde des sports de glisse ou de la musique.
Conglomérat industriel né dans les années 60 dans une Corée du Sud épuisée par un demi-siècle d'occupation japonaise et une guerre fratricide avec la Corée du Nord, Samsung assume donc son nouveau statut de champion des loisirs numériques et mise, comme ses principaux concurrents, sur le divertissement pour attirer et fidéliser ses clients. Les gourous du marketing auraient-ils définitivement pris le dessus sur les ingénieurs ?
