Facebook vient d'annoncer qu'il a conclu des partenariats avec des opérateurs du monde entier pour rendre gratuit ou très accessible l'accès à sa solution de messagerie.
Depuis qu'il est devenu le réseau social universel, Facebook mise effectivement sur sa fonctionnalité de messagerie, au travers de mises à jours subtiles mais aux conséquences lourdes. L'application Android Facebook Messenger s'interface par exemple avec les SMS et peut même être utilisée sans compte Facebook.
Facebook intensifie aujourd'hui son offensive dans l'espoir de remplacer définitivement les solutions concurrentes mais aussi et surtout le SMS. Le communiqué est laconique mais c'est sans aucun doute cette ambition que sert cette annonce.
Pour ce faire, prochainement, la messagerie Facebook sera incluse chez certains opérateurs1 au même titre que le SMS. Les abonnés n'auront plus à souscrire d'option Internet pour utiliser l'application Facebook Messenger (disponible sur Android et iOS) ou même l'application Facebook for Every Phone, fonctionnant sur la plupart des mobiles traditionnels. L'utilisation de ces services reposera toujours sur une connexion à Internet, mais elle sera gratuite ou très économique pour cet usage.
Nul doute que dans des pays dans lesquels les usages mobiles sont encore naissants, de nombreux utilisateurs préfèreront une solution unifiée, accessible indifféremment d'un mobile ou d'un ordinateur, à la solution cloisonnée qu'incarne le SMS.
1 TMN au Portugal, Three en Irelande, Airtel et Reliance en Inde, Vivacom en Bulgarie, Backcell en Azerbaïdjan, Indosat, Smartfren, AXIS et XL Axiata en Indonésie, SMART aux Philippines, DiGi en Malaisie, DTAC en Thaïlande, Viva au Bahreïn, STC en Arabie Saoudite, Oi au Brésil, Etisalat en Égypte et Tre en Italie
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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