Après avoir timidement renouvelé sa liseuse haut de gamme Touch Lux, PocketBook a annoncé hier en prévision du Salon du Livre, qui se tiendra à Paris du 21 au 24 mars, une liseuse étanche.
Le fabricant suisse PocketBook a présenté hier soir l'Aqua, une liseuse qui présente la particularité d'être étanche. Sa certification IP57 garantit qu'elle peut être immergée à 1 mètre de profondeur pendant 30 minutes et qu'à défaut d'y être totalement étanche, elle résiste à la poussière.
L'objectif n'est pas de lire sous une averse, encore que ce serait possible, mais de pouvoir le faire à la plage ou au bord d'une piscine par exemple. L'air de rien, la liseuse comble ainsi l'une de ses principales lacunes par rapport aux livres en papier : on peut finalement l'utiliser elle aussi sans prendre de précautions particulières. Il ne lui manque plus qu'à devenir résistante aux chutes.
174,4 x 114,6 x 9 mm pour 170 g
La PocketBook Aqua est par ailleurs une liseuse conventionnelle, s'articulant autour de l'éternel écran à encre électronique E Ink Pearl de 6 pouces, restituant 800 x 600 pixels avec 16 nuances de gris, et recouvert en l'occurrence d'un film tactile capacitif multipoint. On retrouve également un processeur à 1 GHz, 256 Mo de mémoire vive, 4 Go de mémoire interne, une connectivité Wi-Fi N et une batterie de 1300 mAh permettant par exemple de lire un livre de 8000 pages.
Le firmware maison offre les fonctions habituelles avec notamment une boutique intégrée, l'accès à Dropbox pour transférer ses propres livres, une fonction Send to PocketBook pour lire des contenus issus d'Internet, un navigateur Internet, un lecteur de flux RSS et quelques applications et jeux annexes.
La PocketBook Aqua sera disponible à partir du mois d'avril sur la boutique du fabricant, au prix public de 110 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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