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Le très diplomate ministre français de l'intérieur, Dominique de Villepin, veut faire de la lutte contre la criminalité sur Internet une priorité nationale.
Devenu ministre de l'intérieur à la création du gouvernement RAFFARIN III, Dominique de VILLEPIN, ex-chef de la diplomatie française, a présenté mardi de nouveaux axes de lutte contre la criminalité sur Internet.
Bien plus diplomate que son prédécesseur, Nicolas SARKOZY, actuel ministre de l'économie, monsieur de VILLEPIN est favorable à l'augmentation des forces de police et de gendarmerie chargées de lutter contre la cybercriminalité.
Il est temps en effet "face à une forme de criminalité nouvelle et en constante évolution, de repenser méthodes et moyens d'action", a déclaré le ministre.
Dominique de VILLEPIN estime que la menace "du piratage aux incitations à la haine, des fraudes bancaires à la pédopornographie, porte atteinte à la sécurité et aux valeurs de tous les citoyens".
D'ici 2007, les effectifs nationaux spécialisés dans la lutte contre la cybercriminalité devraient doubler, passant de 300 à 600 fonctionnaires, a déclaré le ministre lors d'un déplacement à l'IRCGN (Institut de recherches criminelles de la gendarmerie nationale) de Rosny-sous-Bois en Seine-Saint-Denis, en compagnie du président de France Télécom, Thierry BRETON.
Par ailleurs, le ministre de l'intérieur français a assuré que "les capacités d'investigation de la police et de la gendarmerie" en matière de lutte contre la criminalité en ligne allaient être renforcées.
A l'heure où les réseaux terroristes jouent la carte de la mondialisation, il est temps de mieux protéger la Toile et ses usagers.
Devenu ministre de l'intérieur à la création du gouvernement RAFFARIN III, Dominique de VILLEPIN, ex-chef de la diplomatie française, a présenté mardi de nouveaux axes de lutte contre la criminalité sur Internet.
Bien plus diplomate que son prédécesseur, Nicolas SARKOZY, actuel ministre de l'économie, monsieur de VILLEPIN est favorable à l'augmentation des forces de police et de gendarmerie chargées de lutter contre la cybercriminalité.
Il est temps en effet "face à une forme de criminalité nouvelle et en constante évolution, de repenser méthodes et moyens d'action", a déclaré le ministre.
Dominique de VILLEPIN estime que la menace "du piratage aux incitations à la haine, des fraudes bancaires à la pédopornographie, porte atteinte à la sécurité et aux valeurs de tous les citoyens".
D'ici 2007, les effectifs nationaux spécialisés dans la lutte contre la cybercriminalité devraient doubler, passant de 300 à 600 fonctionnaires, a déclaré le ministre lors d'un déplacement à l'IRCGN (Institut de recherches criminelles de la gendarmerie nationale) de Rosny-sous-Bois en Seine-Saint-Denis, en compagnie du président de France Télécom, Thierry BRETON.
Par ailleurs, le ministre de l'intérieur français a assuré que "les capacités d'investigation de la police et de la gendarmerie" en matière de lutte contre la criminalité en ligne allaient être renforcées.
A l'heure où les réseaux terroristes jouent la carte de la mondialisation, il est temps de mieux protéger la Toile et ses usagers.