Le fabricant taiwanais de NAS Synology a annoncé hier le « DiskStation DS112+ », dernier maillon manquant de la famille haut de gamme de sa collection 2012.
En associant son plus puissant SoC à une seule baie pour disque dur, Synology propose cette fois un NAS qui n'est pas tant destiné au stockage ou à la sauvegarde qu'aux fonctions dites annexes du « DiskStation Manager », telles que l'auto-hébergement de ses propres services cloud (synchronisation de fichiers, de photos, diffusion de musique), l'auto-hébergement d'un site Internet modeste, le téléchargement autonome via BitTorrent ou Usenet ou encore le partage de fichiers multimédias avec les lecteurs du domicile.
Le « DS112+ » est par ailleurs au DS112 existant ce que le DS212+ est au DS212 : une variante plus performante d'un cran. Avec son SoC cadencé à 2,0 GHz (contre 1,6), ses 512 Mo de mémoire vive DDR3 (contre 256) et son unique port Gigabit Ethernet, il revendique des taux de transfert de 108 et 76 Mo/s en lecture et écriture.
Les deux modèles partagent l'essentiel du reste de leurs caractéristiques en offrant notamment la prise en charge d'un disque dur Serial ATA à 3 Gbps de 4 To, deux ports USB 3.0 et un port eSATA, pour une consommation de 6,3 W au repos, de 14,6 W en activité et des émissions sonores contenues de 18,4 dBA.
Le « Synology DiskStation DS112+ » est d'ores et déjà commercialisé en France au prix public de 215 euros, soit 20 euros de plus que le DS112 ou 60 euros de moins que le DS212+.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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