PhotoFast a annoncé hier le lancement en France du « i-FlashDrive HD », la nouvelle version de sa clé USB compatible avec l'iPhone et l'iPad.
52,5 x 25,9 x 9 mm pour 18 g
Disponible depuis le mois dernier aux États-Unis, le i-FlashDrive HD est désormais disponible en France et en Europe. PhotoFast le présente, à notre connaissance à juste titre, comme la seule clé USB compatible avec l'iPhone, l'iPod Touch et l'iPad.
Pour ce faire, le produit dispose d'une part d'un connecteur USB standard, d'autre part du connecteur propriétaire à 30 broches. Un adaptateur Lightning est fourni, sauf avec le premier modèle.
Le port USB permet d'accéder aux 8 Go, 16 Go, 32 Go ou 64 Go de mémoire Flash depuis un ordinateur ou depuis de nombreux autres appareils, comme avec n'importe quelle clé USB. Mais sur iPhone ou iPad, en raison de la conception cloisonnée de la plateforme, il faut sans surprise utiliser une application spécifique.
Application requise sur l'iPhone
Celle-ci permet d'afficher et d'éditer toutes sortes de documents bureautique (fichiers PDF, iWork, Microsoft Office, etc.), de visionner des photos, des vidéos et d'écouter de la musique, et de les diffuser via AirPlay. Mais l'intégration est limitée, toujours à cause des restrictions d'Apple, il est par exemple impossible d'ajouter des morceaux à l'application Musique d'origine.
Le i-FlashDrive est néanmoins le seul produit permettant d'échanger des fichiers, dans une certaine mesure, entre un terminal Apple et un autre appareil sans avoir recours au réseau ou à iTunes. Les taux de transferts, pour le moins modestes, sont de 10 Mo/s via USB, de 1,5 à 2 Mo/s via connecteur 30 broches.
La seconde génération du i-FlashDrive est présentée comme plus rapide et considérablement plus fine que sa devancière. Elle est désormais déclinée en 8 Go, 16 Go, 32 Go et 64 Go, et vendue dès à présent en France et en Europe pour 70 à 250 euros. À titre de comparaison, la Memup DualKey destinée aux terminaux Android est facturée à partir de 15 euros pour 8 Go.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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