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Le dégroupage partiel se développe en France : Sur quelques 34 millions de lignes téléphoniques fixes, 16 847 lignes étaient partiellement dégroupées au 1er avril 2003, contre 9027 en février, a précisé l'ART dans un communiqué rendu public mardi.
Le dégroupage de la boucle locale ou l'accès dégroupé au réseau local "consiste à permettre aux nouveaux opérateurs d'utiliser le réseau local de l'opérateur historique, France Télécom, constitué de paires de fils de cuivre, pour desservir directement leurs abonnés."
L'Autorité de régulation des télécommunications a rappelé que ces lignes partiellement dégroupées concernent dans leur majorité Paris et sa banlieue, Lyon, Marseille et Nice. Néanmoins, d'autres zones "déjà équipées pour le dégroupage" vont enfin pouvoir en bénéficier.
Depuis le 1er février dernier, 36 sites de dégroupage ont été livrés aux opérateurs alternatifs sur une dizaine de villes de province, soit au total 174 sites livrés sur le territoire national.
"Les opérateurs continuent leur déploiement, afin d'être en mesure de proposer leurs offres à un plus grand nombre", a insisté l'ART.
Ce déploiement se base sur une offre d'hébergement des équipements des opérateurs privés dans des "espaces dédiés" intégrés aux salles de France Télécom, soit en accès partagé. Cette solution est censée faciliter le déploiement des opérateurs alternatifs dans des villes de taille moins importante.
Depuis plus de quatre mois, "grâce au dégroupage partiel de la boucle locale", des services d'accès haut débit à Internet via l'ADSL (asymetric digital Subscriber line) sont fournis directement par les opérateurs/fournisseurs tiers, tels que Free et 9Telecom.
Quant au dégroupage total, pourtant effectif depuis un an, il se limitait à 1 610 lignes au 1er avril, contre 1 413 au 1er février 2003. Ces lignes doivent permettre aux opérateurs de proposer "des offres à forte valeur ajoutée aux entreprises."
Le dégroupage de la boucle locale ou l'accès dégroupé au réseau local "consiste à permettre aux nouveaux opérateurs d'utiliser le réseau local de l'opérateur historique, France Télécom, constitué de paires de fils de cuivre, pour desservir directement leurs abonnés."
L'Autorité de régulation des télécommunications a rappelé que ces lignes partiellement dégroupées concernent dans leur majorité Paris et sa banlieue, Lyon, Marseille et Nice. Néanmoins, d'autres zones "déjà équipées pour le dégroupage" vont enfin pouvoir en bénéficier.
Depuis le 1er février dernier, 36 sites de dégroupage ont été livrés aux opérateurs alternatifs sur une dizaine de villes de province, soit au total 174 sites livrés sur le territoire national.
"Les opérateurs continuent leur déploiement, afin d'être en mesure de proposer leurs offres à un plus grand nombre", a insisté l'ART.
Ce déploiement se base sur une offre d'hébergement des équipements des opérateurs privés dans des "espaces dédiés" intégrés aux salles de France Télécom, soit en accès partagé. Cette solution est censée faciliter le déploiement des opérateurs alternatifs dans des villes de taille moins importante.
Depuis plus de quatre mois, "grâce au dégroupage partiel de la boucle locale", des services d'accès haut débit à Internet via l'ADSL (asymetric digital Subscriber line) sont fournis directement par les opérateurs/fournisseurs tiers, tels que Free et 9Telecom.
Quant au dégroupage total, pourtant effectif depuis un an, il se limitait à 1 610 lignes au 1er avril, contre 1 413 au 1er février 2003. Ces lignes doivent permettre aux opérateurs de proposer "des offres à forte valeur ajoutée aux entreprises."
