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L'UE rappellera à l'ordre les «mauvais élèves» du dégroupage, en entamant des poursuites si nécessaire.
Les Etats membres de l'Union européenne qui n'auraient pas «progressé» dans le dégroupage de leur boucle locale avant octobre prochain pourraient être sanctionnés.
Ainsi, Erkki LIIKANEN Commissaire européen chargé des télécommunications «se réserve le droit» d'entamer des poursuites contre ces pays, selon Reuters.
En octobre, la Commission publiera un rapport d'évaluation des progrès des Quinze dans l'ouverture de l'accès à la boucle locale (dernier tronçon de lignes en cuivre connectant les foyers aux réseaux téléphoniques.)
«S'il y a des problèmes sur les marchés qui sont dus à une application lente des directives de l'Union européenne, nous avons le droit de lancer une procédure pour non-respect des règles», a rappelé le Commissaire européen.
Si les autorités de tutelle nationales soutiennent l'application de la directive européenne libéralisant le secteur, Erkki LIIKANEN estime qu'il reste des zones d'ombre et que la situation varie «énormément» d'un pays à l'autre.
D'après la Commission, les pays qui s'en sortent le mieux, l'Allemagne en particulier, ont entamé le processus avant janvier 2001 date limite qui avait été fixée par l'UE.
En mars dernier, la Commission remarquait que peu d'Etats membres de l'Union étaient à même de proposer rapidement des lignes téléphoniques entièrement dégroupées. La situation n'était pas plus encourageante en ce qui concerne l'accès partagé à Internet, si ce n'est en Finlande...
«Dégrouper n'est pas une chose facile, on peut être confronté à de nombreux obstacles. Il faut mettre en place une vraie politique de régulation, que les candidats soient 'coopératifs' et qu'il y ait de nouveaux entrants sur le marché», conclut Erkki LIIKANEN.
Les Etats membres de l'Union européenne qui n'auraient pas «progressé» dans le dégroupage de leur boucle locale avant octobre prochain pourraient être sanctionnés.
Ainsi, Erkki LIIKANEN Commissaire européen chargé des télécommunications «se réserve le droit» d'entamer des poursuites contre ces pays, selon Reuters.
En octobre, la Commission publiera un rapport d'évaluation des progrès des Quinze dans l'ouverture de l'accès à la boucle locale (dernier tronçon de lignes en cuivre connectant les foyers aux réseaux téléphoniques.)
«S'il y a des problèmes sur les marchés qui sont dus à une application lente des directives de l'Union européenne, nous avons le droit de lancer une procédure pour non-respect des règles», a rappelé le Commissaire européen.
Si les autorités de tutelle nationales soutiennent l'application de la directive européenne libéralisant le secteur, Erkki LIIKANEN estime qu'il reste des zones d'ombre et que la situation varie «énormément» d'un pays à l'autre.
D'après la Commission, les pays qui s'en sortent le mieux, l'Allemagne en particulier, ont entamé le processus avant janvier 2001 date limite qui avait été fixée par l'UE.
En mars dernier, la Commission remarquait que peu d'Etats membres de l'Union étaient à même de proposer rapidement des lignes téléphoniques entièrement dégroupées. La situation n'était pas plus encourageante en ce qui concerne l'accès partagé à Internet, si ce n'est en Finlande...
«Dégrouper n'est pas une chose facile, on peut être confronté à de nombreux obstacles. Il faut mettre en place une vraie politique de régulation, que les candidats soient 'coopératifs' et qu'il y ait de nouveaux entrants sur le marché», conclut Erkki LIIKANEN.
