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La bourse remonte et les profits reviennent mais peut on parler de retour des beaux jours ? Selon la société d'études américaine Gartner, la réponse serait plutôt positive car elle anticipe une reprise des dépenses d'investissement dans les technologies de l'information pour l'année 2004.
Gartner annonce ainsi une augmentation de 5,4% en 2004 des investissements mondiaux dans les nouvelles technologies avec 2.400 milliards de dollars contre 2.270 milliards en 2003.
Tout en conseillant à ses clients de poursuivre leurs efforts de réduction des dépenses en choisissant des matériels informatique d'entrée de gamme ou en externalisant certains postes vers des zones à faible coût de main-d'oeuvre comme l'Inde, Gartner conseille d'investir dans des secteurs comme les réseaux de transmission de données sans fil, à haut débit et sécurisés, les Ordinateurs Portables, les services web ou encore le stockage en réseau.
Malgré de nombreux annonces financières faisant état d'un retour aux bénéfices, de nombreux groupes informatiques comme se veulent prudents et ne parlent pour le moment pas de reprise. Il faut dire qu'après les excès, tant financiers que verbaux, de la nouvelle économie, le secteur opte actuellement pour l'humilité.
Gartner annonce ainsi une augmentation de 5,4% en 2004 des investissements mondiaux dans les nouvelles technologies avec 2.400 milliards de dollars contre 2.270 milliards en 2003.
Tout en conseillant à ses clients de poursuivre leurs efforts de réduction des dépenses en choisissant des matériels informatique d'entrée de gamme ou en externalisant certains postes vers des zones à faible coût de main-d'oeuvre comme l'Inde, Gartner conseille d'investir dans des secteurs comme les réseaux de transmission de données sans fil, à haut débit et sécurisés, les Ordinateurs Portables, les services web ou encore le stockage en réseau.
Malgré de nombreux annonces financières faisant état d'un retour aux bénéfices, de nombreux groupes informatiques comme se veulent prudents et ne parlent pour le moment pas de reprise. Il faut dire qu'après les excès, tant financiers que verbaux, de la nouvelle économie, le secteur opte actuellement pour l'humilité.
