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Deux ans après sa constitution, Sony Ericsson améliore ses performances commerciales et envisage le retour à la rentabilité au second semestre 2003
Bientôt la fin du tunnel ? Deux ans après sa constitution, Sony Ericsson, la filiale commune à Sony et Ericsson, spécialisée dans la fabrication de téléphones mobiles, annonce des résultats trimestriels encourageants.
Au second trimestre 2003, la société a ramené sa perte de 98 M€ à 45 M€ tandis que son chiffre d'affaires est passé de 950 M€ à 1125 M€. A ce rythme, la société espère redevenir bénéficiaire au second semestre 2003.
Longtemps dans le trio de tête aux côtés de Nokia et , le constructeur a progressivement vu sa part de marché décliner, jusqu'à atteindre les 5%, derrière Siemens ou surtout Samsung.
Profitant du renouvellement pratiquement complet de sa gamme, Sony Ericsson a vu sa part de marché remonter à 6.4% mais vise les 7% pour être rentable. Sur la période, la société a ainsi vendu 6.7 millions de terminaux sur un marché global évalué à 105 millions d'unités.
Considérée comme moribonde il y a encore quelques mois, la société semble retrouver des couleurs avec le succès -au moins médiatique- de son P800. Reste à savoir si l'arrivée sur le marché des constructeurs chinois (htc, mitac, lenovo, etc...) permettra à Sony Ericsson de tenir ses objectifs.
Bientôt la fin du tunnel ? Deux ans après sa constitution, Sony Ericsson, la filiale commune à Sony et Ericsson, spécialisée dans la fabrication de téléphones mobiles, annonce des résultats trimestriels encourageants.
Au second trimestre 2003, la société a ramené sa perte de 98 M€ à 45 M€ tandis que son chiffre d'affaires est passé de 950 M€ à 1125 M€. A ce rythme, la société espère redevenir bénéficiaire au second semestre 2003.
Longtemps dans le trio de tête aux côtés de Nokia et , le constructeur a progressivement vu sa part de marché décliner, jusqu'à atteindre les 5%, derrière Siemens ou surtout Samsung.
Profitant du renouvellement pratiquement complet de sa gamme, Sony Ericsson a vu sa part de marché remonter à 6.4% mais vise les 7% pour être rentable. Sur la période, la société a ainsi vendu 6.7 millions de terminaux sur un marché global évalué à 105 millions d'unités.
Considérée comme moribonde il y a encore quelques mois, la société semble retrouver des couleurs avec le succès -au moins médiatique- de son P800. Reste à savoir si l'arrivée sur le marché des constructeurs chinois (htc, mitac, lenovo, etc...) permettra à Sony Ericsson de tenir ses objectifs.
