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Moins médiatisée que le piratage de la musique, la question de la copie d'articles de presse est néanmoins en passe d'être résolue. Spécialiste de la revue de presse, la société française PressIndex annonce ainsi un accord avec le Centre Français d'exploitation du droit de Copie sur le reversement des droits électroniques pour la diffusion sur intranet.
A l'instar de ce que faisait depuis longtemps l'Européenne de données avec PressEd, les clients de Press Index auront désormais la possibilité de diffuser sur leur Intranet, en toute légalité, les articles émanant des éditeurs signataires et que Press Index a sélectionnés pour eux, sans s'exposer aux éventuelles poursuites pour contrefaçon sanctionnées en théorie par deux ans d'emprisonnement et 150.000 €uros d'amende.
« A partir du sommaire du panorama de presse mis sur l'Intranet, l'article est visualisé ou imprimé selon le droit attaché au titre. Les bases de calcul des droits sont automatiquement décomptés » nous explique Loïc Bermani, Directeur Commercial de la société.
« Il était essentiel que l'utilisation et la diffusion sur intranet des panoramas de presse que nous réalisons pour nos clients soient reconnues dans la législation globale sur les droits d'auteur » précise Manuel Zebeida, PDG de Press Index.
Il faut dire que le numérique a tout changé dans ce métier. Longtemps considéré comme un simple travail de documentaliste, qui archivait ou regroupait les articles de la presse papier, ce type d'activité s'est progressivement numérisé et automatisé au point que les éditeurs de presse (LeMonde, LesEchos, LeFigaro, etc...) se sont rendus compte que les principaux articles de leur édition du jour pouvait être dupliqués en toute impunité, quelques heures plus tard, sur de nombreux intranets...
Initiée par le GESTE, le groupement des éditeurs en ligne, cette démarche du CFC, véritable "SACEM" de la presse écrite, devrait donc changer ces habitudes et constituer une nouvelle source de revenus pour les éditeurs de presse, pénalisés par la mauvaise santé de la publicité.
Interrogé par NetEconomie.com, Dominique FOURNIER, Directeur marketing et communication de PressIndex précise : "Depuis plusieurs mois, nous avons rencontré nos clients pour les préparer à cette modification dans le mode de diffusion. Nous avons un rôle de conseil auprès de nos clients pour leur exposer les choix possibles sur la fréquence, le contenu et l'adéquation entre le contenu et les destinataires. Cette dimension du métier, si elle n'est pas complètement nouvelle pour Press Index, prend maintenant une importance grandissante."
A l'instar de ce que faisait depuis longtemps l'Européenne de données avec PressEd, les clients de Press Index auront désormais la possibilité de diffuser sur leur Intranet, en toute légalité, les articles émanant des éditeurs signataires et que Press Index a sélectionnés pour eux, sans s'exposer aux éventuelles poursuites pour contrefaçon sanctionnées en théorie par deux ans d'emprisonnement et 150.000 €uros d'amende.
« A partir du sommaire du panorama de presse mis sur l'Intranet, l'article est visualisé ou imprimé selon le droit attaché au titre. Les bases de calcul des droits sont automatiquement décomptés » nous explique Loïc Bermani, Directeur Commercial de la société.
« Il était essentiel que l'utilisation et la diffusion sur intranet des panoramas de presse que nous réalisons pour nos clients soient reconnues dans la législation globale sur les droits d'auteur » précise Manuel Zebeida, PDG de Press Index.
Il faut dire que le numérique a tout changé dans ce métier. Longtemps considéré comme un simple travail de documentaliste, qui archivait ou regroupait les articles de la presse papier, ce type d'activité s'est progressivement numérisé et automatisé au point que les éditeurs de presse (LeMonde, LesEchos, LeFigaro, etc...) se sont rendus compte que les principaux articles de leur édition du jour pouvait être dupliqués en toute impunité, quelques heures plus tard, sur de nombreux intranets...
Initiée par le GESTE, le groupement des éditeurs en ligne, cette démarche du CFC, véritable "SACEM" de la presse écrite, devrait donc changer ces habitudes et constituer une nouvelle source de revenus pour les éditeurs de presse, pénalisés par la mauvaise santé de la publicité.
Interrogé par NetEconomie.com, Dominique FOURNIER, Directeur marketing et communication de PressIndex précise : "Depuis plusieurs mois, nous avons rencontré nos clients pour les préparer à cette modification dans le mode de diffusion. Nous avons un rôle de conseil auprès de nos clients pour leur exposer les choix possibles sur la fréquence, le contenu et l'adéquation entre le contenu et les destinataires. Cette dimension du métier, si elle n'est pas complètement nouvelle pour Press Index, prend maintenant une importance grandissante."
