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Trois fabricants de semi-conducteurs, le franco-italien STMicroelectronics, le néerlandais Philips et l'américain ont annoncé leur intention d'investir 1,6 milliard d'euros d'ici 2005 dans un projet de recherche commun sur les microprocesseurs du futur.
la france peut se réjouir : le centre de recherche-développement pour de nouvelles générations de puces sera situé à Crolles, dans la région de Grenoble. Le programme, prévoit ainsi la création de 1.500 emplois directs et un total de plus de 4.500 emplois dans la région en comptant les emplois indirects.
Concrètement, le programme réside dans la mise au point de puces toujours plus petites, plus performantes et plus rapides : les dimensions envisagées sont de l'ordre de 90 à 32 nanomètres sur des plaquettes de silicium de 300 mm.
De nouveaux investissements très lourds à partir de 2005 pour le passage à la phase industrielle devrait porter à 2,8 milliards d'euros d'ici 2007, l'investissement total dans le projet qui recevra une aide de l'Etat et des collectivités locales de 542,3 millions d'euros.
« Avec un montant total d'investissements de plus de 1,5 milliard d'euros dans un premier temps et de nouvelles perspectives à partir de 2005, ce projet constitue l'investissement industriel le plus important de ces dernières années en France », s'est enthousiasmé Christian Pierret, secrétaire d'Etat à l'Industrie.
Ce partenariat technologique et industriel montre en tous cas la nécessité actuelle que des concurrents au niveau mondial s'unissent pour faire face aux coûts exorbitants de la recherche et développement dans les secteurs de pointe.
la france peut se réjouir : le centre de recherche-développement pour de nouvelles générations de puces sera situé à Crolles, dans la région de Grenoble. Le programme, prévoit ainsi la création de 1.500 emplois directs et un total de plus de 4.500 emplois dans la région en comptant les emplois indirects.
Concrètement, le programme réside dans la mise au point de puces toujours plus petites, plus performantes et plus rapides : les dimensions envisagées sont de l'ordre de 90 à 32 nanomètres sur des plaquettes de silicium de 300 mm.
De nouveaux investissements très lourds à partir de 2005 pour le passage à la phase industrielle devrait porter à 2,8 milliards d'euros d'ici 2007, l'investissement total dans le projet qui recevra une aide de l'Etat et des collectivités locales de 542,3 millions d'euros.
« Avec un montant total d'investissements de plus de 1,5 milliard d'euros dans un premier temps et de nouvelles perspectives à partir de 2005, ce projet constitue l'investissement industriel le plus important de ces dernières années en France », s'est enthousiasmé Christian Pierret, secrétaire d'Etat à l'Industrie.
Ce partenariat technologique et industriel montre en tous cas la nécessité actuelle que des concurrents au niveau mondial s'unissent pour faire face aux coûts exorbitants de la recherche et développement dans les secteurs de pointe.