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La filiale mobile du groupe Bouygues se décide à proposer sa candidature pour une licence UMTS, et annonce avec DoCoMo qu'il lancera l'i-mode en France.
Le troisième des opérateurs de téléphonie mobile français, Bouygues Telecom, annonce qu'il déposera un dossier de candidature pour l'acquisition d'une licence UMTS le 16 mai prochain auprès de l'Autorité de régulation des télécommunications (ART).
Les deux premières licences ont été attribués à la filiale mobile de France télécom, Orange, et à SFR du groupe Cegetel (Vivendi Universal) l'an dernier. Il reste aujourd'hui une licence UMTS, sur quatre, à attribuer.
Les Echos signalent à ce sujet dans leur édition de mercredi que Suez, l'allemand Deutsche Telekom, le suédois Tele2, l'espagnol , et le hong-kongais Hutchison Whampoa ont renoncé à cette licence.
De son côté, Bouygues Telecom a rappelé que son changement de stratégie en matière de téléphonie mobile de troisième génération (3G) avait été principalement motivé par la baisse drastique du prix des licences, qui avait été ramené de 4,9 milliards d'euros à 619 millions d'euros, auquel s'ajoute une redevance de 1% des revenus générés.
Le besoin de financement complémentaire de Bouygues Telecom pour acquérir cette licence, que l'opérateur estime à 800 millions d'euros, sera assuré par ses actionnaires sous forme d'augmentation de capital.
Les Echos précisent par ailleurs que la filiale mobile du groupe Bouygues veut faire appel au marché en émettant un emprunt obligataire à sept ans d'un montant de 750 millions d'euros.
Parallèlement à cette initiative pressentie par les analystes depuis la chute du tarif des licences, Bouygues Telecom et NTT DoCoMo, premier opérateur mobile japonais, ont annoncé que le service "i-mode" d'accès à Internet via un mobile serait lancé sur le marché français d'ici un an.
Après l'Allemagne en mars, les Pays-Bas ce mois-ci, et la Belgique en juin, la France deviendra le quatrième marché européen a utilisé le service de DoCoMo déjà plébiscité par plus de 32 millions de mobinautes japonais.
Les deux parties précisent dans un communiqué commun que : Bouygues pourra utiliser les licences et les technologies de DoCoMo "sur les réseaux GPRS, puis UMTS si Bouygues Telecom obtient une licence 3G"...
Le troisième des opérateurs de téléphonie mobile français, Bouygues Telecom, annonce qu'il déposera un dossier de candidature pour l'acquisition d'une licence UMTS le 16 mai prochain auprès de l'Autorité de régulation des télécommunications (ART).
Les deux premières licences ont été attribués à la filiale mobile de France télécom, Orange, et à SFR du groupe Cegetel (Vivendi Universal) l'an dernier. Il reste aujourd'hui une licence UMTS, sur quatre, à attribuer.
Les Echos signalent à ce sujet dans leur édition de mercredi que Suez, l'allemand Deutsche Telekom, le suédois Tele2, l'espagnol , et le hong-kongais Hutchison Whampoa ont renoncé à cette licence.
De son côté, Bouygues Telecom a rappelé que son changement de stratégie en matière de téléphonie mobile de troisième génération (3G) avait été principalement motivé par la baisse drastique du prix des licences, qui avait été ramené de 4,9 milliards d'euros à 619 millions d'euros, auquel s'ajoute une redevance de 1% des revenus générés.
Le besoin de financement complémentaire de Bouygues Telecom pour acquérir cette licence, que l'opérateur estime à 800 millions d'euros, sera assuré par ses actionnaires sous forme d'augmentation de capital.
Les Echos précisent par ailleurs que la filiale mobile du groupe Bouygues veut faire appel au marché en émettant un emprunt obligataire à sept ans d'un montant de 750 millions d'euros.
Parallèlement à cette initiative pressentie par les analystes depuis la chute du tarif des licences, Bouygues Telecom et NTT DoCoMo, premier opérateur mobile japonais, ont annoncé que le service "i-mode" d'accès à Internet via un mobile serait lancé sur le marché français d'ici un an.
Après l'Allemagne en mars, les Pays-Bas ce mois-ci, et la Belgique en juin, la France deviendra le quatrième marché européen a utilisé le service de DoCoMo déjà plébiscité par plus de 32 millions de mobinautes japonais.
Les deux parties précisent dans un communiqué commun que : Bouygues pourra utiliser les licences et les technologies de DoCoMo "sur les réseaux GPRS, puis UMTS si Bouygues Telecom obtient une licence 3G"...
