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Formation à distance, "e-learning", le télé-enseignement qui semble encore se chercher en France, a fait l'objet d'un séminaire organisé le 5 juin 2003 par l'association Aristote, le CNED (Centre national d'enseignement à distance), le CTN (Centre des technologies nouvelles), et la FING (association pour la Fondation Internet Nouvelle Génération).
Cette dernière a choisi de rendre publique la synthèse du séminaire ("le télé-enseignement, de l'artisanat à l'industrialisation") afin d'éclairer les internautes sur le sujet.
Comme le souligne la FING, "si l'on y regarde de plus près, il y a là toutes les composantes de l'enseignement délivré par e-learning à savoir un savant et expérimenté dosage de toutes les technologies disponibles au service d'un métier d'êtres humains."
"Il ne s'agit pas de trancher entre un goût immodéré pour les technologies les plus modernes ou un conservatisme de bon aloi pour tenir compte de la faiblesse de pénétration dans le grand public de ses dites technologies", ajoute la FING.
Avant d'être télé, "le télé-enseignement est d'abord de l'enseignement".
Pour Alain DERYCKE, Directeur de recherche du Laboratoire Trigone, Institut CUEEP, les conditions de la réussite d'un projet e-learning tiennent en cinq dimensions : cognitive, "soit l'équilibre entre les objets de la connaissance, l'activité individuelle d'apprentissage et le contexte", la dimension pédagogique, la dimension de l'individu (ages, sexes, handicaps, etc.), la dimension organisationnelle et la dimension technologique.
En France, l'évolution du e-learning passe par : le co-développement, la coopération, "la formation ouverte tout au long de la vie, et à l'avenir par les campus numériques." Néanmoins, comme l'a précisée Claudine MÜHLSTEIN-JOLIETTE de l'Université Paris 3 Sorbonne nouvelle, "il est indispensable d'avoir une approche coopérative. Or, le modèle reste à trouver en Europe, et ce ne sera pas forcément l'approche nord-américaine."
Cette dernière a choisi de rendre publique la synthèse du séminaire ("le télé-enseignement, de l'artisanat à l'industrialisation") afin d'éclairer les internautes sur le sujet.
Comme le souligne la FING, "si l'on y regarde de plus près, il y a là toutes les composantes de l'enseignement délivré par e-learning à savoir un savant et expérimenté dosage de toutes les technologies disponibles au service d'un métier d'êtres humains."
"Il ne s'agit pas de trancher entre un goût immodéré pour les technologies les plus modernes ou un conservatisme de bon aloi pour tenir compte de la faiblesse de pénétration dans le grand public de ses dites technologies", ajoute la FING.
Avant d'être télé, "le télé-enseignement est d'abord de l'enseignement".
Pour Alain DERYCKE, Directeur de recherche du Laboratoire Trigone, Institut CUEEP, les conditions de la réussite d'un projet e-learning tiennent en cinq dimensions : cognitive, "soit l'équilibre entre les objets de la connaissance, l'activité individuelle d'apprentissage et le contexte", la dimension pédagogique, la dimension de l'individu (ages, sexes, handicaps, etc.), la dimension organisationnelle et la dimension technologique.
En France, l'évolution du e-learning passe par : le co-développement, la coopération, "la formation ouverte tout au long de la vie, et à l'avenir par les campus numériques." Néanmoins, comme l'a précisée Claudine MÜHLSTEIN-JOLIETTE de l'Université Paris 3 Sorbonne nouvelle, "il est indispensable d'avoir une approche coopérative. Or, le modèle reste à trouver en Europe, et ce ne sera pas forcément l'approche nord-américaine."