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Les autorités américaines ont discrètement publié vendredi dernier la "version finale" de leur plan de sécurité pour Internet.
La première version du projet présentée en septembre 2002 par Richard CLARKE, qui n'occupe plus aujourd'hui son poste de conseiller en sécurité informatique au sein de l'administration Bush, avait été très critiquée par de nombreux spécialistes de la sécurité des réseaux.
Ceux-ci estimaient que le plan en l'état reposait trop sur l'initiative/la bonne volonté privée (sociétés et internautes).
Le nouveau plan de cyber-défense met l'accent sur l'augmentation des dépenses en la matière, et sur le rôle du jeune Département de la sécurité intérieure (Department of Homeland Security) et des agences fédérales, telles que le FBI, dans ce domaine, tout en soulignant que le gouvernement ne souhaite pas "contrôler l'ensemble des aspects de l'Internet".
Par ailleurs, le gouvernement américain engage le secteur privé, qui contrôlerait 85% de la Toile, "à prendre ses responsabilités" en matière de sécurité informatique.
"L'engagement public et privé est un élément clé de notre stratégie pour assurer la sécurité sur Internet", a souligné l'administration Bush.
A l'heure où plane la menace terroriste sur le monde, le gouvernement américain choisit, une fois de plus, de souligner la nécessité absolue de protéger les réseaux informatiques soutenant le fonctionnement d'infrastructures stratégiques des Etats-Unis.
Parmi ses infrastructures : la distribution d'énergie, l'approvisionnement en eau et en électricité, les transports publics, les télécommunications, les services de santé, et les banques.
Les autorités américaines voudraient pouvoir sécuriser le 'cyberspace' contre les attaques de virus tels que "SQL Slammer" et ses variantes. Fin Janvier, Slammer s'est répandu sur les réseaux mondiaux et a bloqué la majorité des accès Internet en Corée du Sud...
La première version du projet présentée en septembre 2002 par Richard CLARKE, qui n'occupe plus aujourd'hui son poste de conseiller en sécurité informatique au sein de l'administration Bush, avait été très critiquée par de nombreux spécialistes de la sécurité des réseaux.
Ceux-ci estimaient que le plan en l'état reposait trop sur l'initiative/la bonne volonté privée (sociétés et internautes).
Le nouveau plan de cyber-défense met l'accent sur l'augmentation des dépenses en la matière, et sur le rôle du jeune Département de la sécurité intérieure (Department of Homeland Security) et des agences fédérales, telles que le FBI, dans ce domaine, tout en soulignant que le gouvernement ne souhaite pas "contrôler l'ensemble des aspects de l'Internet".
Par ailleurs, le gouvernement américain engage le secteur privé, qui contrôlerait 85% de la Toile, "à prendre ses responsabilités" en matière de sécurité informatique.
"L'engagement public et privé est un élément clé de notre stratégie pour assurer la sécurité sur Internet", a souligné l'administration Bush.
A l'heure où plane la menace terroriste sur le monde, le gouvernement américain choisit, une fois de plus, de souligner la nécessité absolue de protéger les réseaux informatiques soutenant le fonctionnement d'infrastructures stratégiques des Etats-Unis.
Parmi ses infrastructures : la distribution d'énergie, l'approvisionnement en eau et en électricité, les transports publics, les télécommunications, les services de santé, et les banques.
Les autorités américaines voudraient pouvoir sécuriser le 'cyberspace' contre les attaques de virus tels que "SQL Slammer" et ses variantes. Fin Janvier, Slammer s'est répandu sur les réseaux mondiaux et a bloqué la majorité des accès Internet en Corée du Sud...
