Futuremark a transmis aujourd'hui un communiqué dans lequel il annonce de manière plus ou moins détournée que le nouveau 3DMark aura du retard. Il en profite pour promouvoir encore un peu son logiciel.
Publiée mi-décembre, la vidéo de la scène « Cloud Gate » devait être la dernière mise en bouche avant le lancement de la nouvelle génération de 3DMark le mois suivant, c'est-à-dire au mois de janvier.
Mais à une semaine de l'échéance, le président de l'éditeur annonce qu'il ne peut finalement plus livrer de date de lancement. Il repousse la sortie d'un délai indéterminé : « 3DMark sera prêt quand il sera prêt ».
Ce serait au bénéfice des utilisateurs. L'éditeur explique effectivement qu'il développe ses benchmarks en étroite collaboration avec les ingénieurs d'AMD, d'Intel, de Microsoft et de Nvidia, et que le retard serait dû au traitement des retours de ces derniers. Cette manière de procéder garantirait précision et impartialité des scores. En outre, travailler directement avec les fabricants de puces graphiques permettrait au benchmark d'être adapté non seulement aux composants contemporains, mais aussi aux prochaines générations.
Publication initiale le 23/01/2013 à 16 h 25
Mise à jour le 31/01/2013 à 11 h 18
Futuremark vient d'annoncer que la version Windows du nouveau 3DMark sera lancée le lundi 4 février 2013, à 19 h pour être précis.
Les dates de sortie des versions Windows RT, Android et iOS ne « peuvent être confirmées », mais le président de l'éditeur espère que quelques semaines sépareront chaque version.
L'éditeur a profité de l'occasion pour livrer une dernière information : en plus des simples scores, les testeurs disposeront de graphiques montrant l'évolution de la fréquence de rafraîchissement mais aussi de la température du CPU et du ou des GPU pour chacun des tests.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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