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Le géant allemand des médias Bertelsmann et le groupe britannique d'édition musicale EMI, viennent de mettre un terme au projet de fusion de leurs activités mu
Fin d'une rêve ! Celui de Thomas Middelhoff, le PDG de Bertelsmann (BMG) qui espérait ravir à Jean-Marie MESSIER, patron de Vivendi-Universal, la place de premier producteur-distributeur de musique dans le monde, en s'alliant avec la major britannique EMI.
Après plusieurs mois de discussions laborieuses, les deux parties ont fait savoir qu'elles abandonnaient leurs négociations pour n'avoir pas réussi à surmonter des problèmes réglementaires liés au respect de la concurrence imposé par la Commission Européenne.
Soucieuse de ne pas accentuer la concentration musicale planétaire, Bruxelles avait fait connaître ses exigences, comme l'abandon par les deux groupes de leur meilleures filiales à l'instar de Virgin Records pour EMI (Spice Girls, Daft Punk, Rolling Stones....), conditions jugées inacceptables.
Pour EMI, il s'agit du second échec de fusion, après celle envisagée à l'automne 2000 avec Warner Music.
Quant à l'allemand Bertelsmann qui, avec BMG, n'occupe que le 5e rang mondial, il ne renonce pas à ses ambitions. « Bertelsmann Music Group (BMG) cherche à conclure des accords de coopération ou à réaliser de petites acquisitions à la suite de l'échec de sa tentative de fusion avec EMI Group », a déclaré le président de son directoire, Rolf Schmidt-Holtz, dans une interview à Reuters. "Nous pouvons facilement coopérer avec quiconque. Nous avons, bien sûr, identifié des partenaires", a ajouté Schmidt-Holtz.
Tous cherchent à s'allier ou à nouer des partenariats et ainsi se tailler un part du gâteau final, mais pour le moment, c'est bien J6M qui mène la danse !
Fin d'une rêve ! Celui de Thomas Middelhoff, le PDG de Bertelsmann (BMG) qui espérait ravir à Jean-Marie MESSIER, patron de Vivendi-Universal, la place de premier producteur-distributeur de musique dans le monde, en s'alliant avec la major britannique EMI.
Après plusieurs mois de discussions laborieuses, les deux parties ont fait savoir qu'elles abandonnaient leurs négociations pour n'avoir pas réussi à surmonter des problèmes réglementaires liés au respect de la concurrence imposé par la Commission Européenne.
Soucieuse de ne pas accentuer la concentration musicale planétaire, Bruxelles avait fait connaître ses exigences, comme l'abandon par les deux groupes de leur meilleures filiales à l'instar de Virgin Records pour EMI (Spice Girls, Daft Punk, Rolling Stones....), conditions jugées inacceptables.
Pour EMI, il s'agit du second échec de fusion, après celle envisagée à l'automne 2000 avec Warner Music.
Quant à l'allemand Bertelsmann qui, avec BMG, n'occupe que le 5e rang mondial, il ne renonce pas à ses ambitions. « Bertelsmann Music Group (BMG) cherche à conclure des accords de coopération ou à réaliser de petites acquisitions à la suite de l'échec de sa tentative de fusion avec EMI Group », a déclaré le président de son directoire, Rolf Schmidt-Holtz, dans une interview à Reuters. "Nous pouvons facilement coopérer avec quiconque. Nous avons, bien sûr, identifié des partenaires", a ajouté Schmidt-Holtz.
Tous cherchent à s'allier ou à nouer des partenariats et ainsi se tailler un part du gâteau final, mais pour le moment, c'est bien J6M qui mène la danse !