Bose a annoncé hier le renouvellement d'un de ses produits les plus populaires : son enceinte Bluetooth miniature. Il lance ainsi le SoundLink Mini II, qui comble deux des principales lacunes de la première génération.
La deuxième génération de l'enceinte Bose SoundLink Mini bénéficie pour commencer d'une autonomie en phase avec le reste du marché. Portée selon la marque à 10 h, elle a quasiment été doublée. Les dimensions et le poids de l'enceinte restent malgré tout contenus puisqu'ils sont de 18 x 5,8 x 5,1 cm pour 670 g.
Le nouveau modèle accueille en outre la fonction mains-libres, c'est-à-dire qu'elle intègre un microphone permettant de passer des appels sur haut-parleur. Dans cet esprit, dorénavant elle prend en charge deux connexions Bluetooth en simultané, ce qui permet par exemple de diffuser de la musique depuis une tablette et de basculer sur l'appel entrant d'un téléphone. L'enceinte mémorise les huit derniers appareils Bluetooth utilisés et livre des indications telles que le nom de l'appareil connecté par synthèse vocale.
En dehors des arrêtes désormais biseautées, l'enceinte est par ailleurs identique. On retrouve le boîtier en aluminium anodisé anti-rayure (mais des caches souples anti-rayure sont néanmoins proposés) et la grille micro-perforée en acier qui abrite deux haut-parleurs couplés à deux radiateurs passifs opposés pour renforcer les basses.
Malheureusement l'enceinte n'est pas compatible avec les codecs haute fidélité aptX (pour Android) et AAC (pour iOS, très rare), elle s'en tient au piètre codec SBC, le codec de base de la norme Bluetooth Audio, qui détériore sensiblement le son. Un comble pour une enceinte aux telles prétentions musicales.
L'enceinte Bose SoundLink Mini II est disponible dès à présent au prix public de 200 euros.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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