Pioneer a annoncé mardi le lancement d'une nouvelle famille de contrôleurs pour DJ jouant sur ordinateur : la famille « DDJ », vraisemblablement pour « digital disc jockey ». Plébiscitée par une grande variété de DJ et de clubs pour ses lecteurs de CD et tables de mixage, qui peuvent pour certains contrôler un logiciel sur ordinateur, la marque lance ses premiers contrôleurs dédiés et autonomes.
Les « Pioneer DDJ-T1 » et « Pioneer DDJ-S1 » sont spécifiquement conçus pour être utilisés respectivement avec les logiciels Native Instruments Traktor DJ et Serato ITCH, avec lesquels ils sont d'ailleurs livrés.
Ils arborent une disposition similaire à celle de l'équipement professionnel de Pioneer, adaptée à l'approche de chacun de ces deux logiciels. Le « DDJ-T1 » offre ainsi une table de mixage à 4 pistes pour tirer profit de cette spécificité de Traktor, alors que le « DDJ-S1 » s'en tient à l'approche plus traditionnelle d'ITCH.
Ils partagent un même jog dial de 115 mm de diamètre, une alimentation par leur connectique USB, une carte son de très haute qualité et des entrées sorties dignes de sonorisations conséquentes, et une conception permettant de glisser le corps d'un ordinateur portable sous leur surface, pour rapprocher au maximum l'écran du DJ.
Le « Pioneer DDJ-T1 » sera commercialisé en France à partir de la mi-février au prix public de 1100 euros, le « Pioneer DDJ-S1 » au mois d'avril pour 1300 euros. De par leur tarification et le choix des logiciels, ils se destinent donc aux DJ éclairés, tels que ceux qui rentabiliseront leur investissement sur des prestations. Pioneer concurrence ainsi des fabricants comme M-Audio, Numark ou Vestax.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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