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La « détente » aura été de courte durée. Après avoir invité des personnalités américaines à visiter son territoire, la Corée du Nord reproche désormais aux Etats-Unis d'avoir mené des cyberattaques à l'encontre de ses installations.
Le pays semblait alors vouloir s'ouvrir auprès d'autres Etats et annonçait vouloir mener une relative politique de détente. Des propos rapidement contredits par la Corée du Nord elle-même, qui, comme à son habitude, entrouvre une porte pour mieux la refermer par la suite. Après donc avoir annoncé être en mesure de mener une guerre contre son voisin du Sud, le régime de Pyongyang indique désormais avoir été victime de cyberattaques menées par les Etats-Unis.
Le pays accuse en effet, via ses agences d'informations officielles, les Etats-Unis et la Corée du Sud d'avoir conduit des attaques contre plusieurs sites publics ou même celui de la compagnie aérienne Air Koryo. Le régime évoque ainsi selon l'AFP, des « cyberattaques quotidiennes, prolongées et intensives ».
Des propos proférés en réaction à ceux prononcés par le chef du renseignement américain, James Clapper. Ce dernier a ainsi expliqué que la Corée du Nord et les cyberattaques étaient les deux menaces principales du pays. « Ces capacités mettent en danger tous les secteurs du pays, du gouvernement aux réseaux privés, en passant par les infrastructures cruciales », a-t-il expliqué au Congrès.
Isolée sur la scène internationale et en relatif froid avec la Chine, la Corée du Nord abat donc logiquement la carte de la cyberattaque. L'Empire du Milieu est en effet aux prises avec les Etats-Unis sur cette même question, les deux pays s'accusant mutuellement de mener des attaques. Toujours est-il que de son côté, la Corée du Nord souhaite se rapprocher de son grand voisin et peser un peu plus sur d'autres problématiques tenant à la géopolitique régionale.
Voilà quelques semaines, Kim Jong-Eun, le dirigeant nord-coréen (et fils de Kim Jong-Il, l'ex-leader du pays) accueillait sur ses terres Eric Schmidt, le président exécutif de Google ainsi que d'autres personnalités américaines comme l'ancienne gloire du Basket, Dennis Rodman.
Le pays semblait alors vouloir s'ouvrir auprès d'autres Etats et annonçait vouloir mener une relative politique de détente. Des propos rapidement contredits par la Corée du Nord elle-même, qui, comme à son habitude, entrouvre une porte pour mieux la refermer par la suite. Après donc avoir annoncé être en mesure de mener une guerre contre son voisin du Sud, le régime de Pyongyang indique désormais avoir été victime de cyberattaques menées par les Etats-Unis.
Le pays accuse en effet, via ses agences d'informations officielles, les Etats-Unis et la Corée du Sud d'avoir conduit des attaques contre plusieurs sites publics ou même celui de la compagnie aérienne Air Koryo. Le régime évoque ainsi selon l'AFP, des « cyberattaques quotidiennes, prolongées et intensives ».
Des propos proférés en réaction à ceux prononcés par le chef du renseignement américain, James Clapper. Ce dernier a ainsi expliqué que la Corée du Nord et les cyberattaques étaient les deux menaces principales du pays. « Ces capacités mettent en danger tous les secteurs du pays, du gouvernement aux réseaux privés, en passant par les infrastructures cruciales », a-t-il expliqué au Congrès.
Isolée sur la scène internationale et en relatif froid avec la Chine, la Corée du Nord abat donc logiquement la carte de la cyberattaque. L'Empire du Milieu est en effet aux prises avec les Etats-Unis sur cette même question, les deux pays s'accusant mutuellement de mener des attaques. Toujours est-il que de son côté, la Corée du Nord souhaite se rapprocher de son grand voisin et peser un peu plus sur d'autres problématiques tenant à la géopolitique régionale.