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Grand-messe libérale, le Sommet économique mondial de Davos en Suisse (www.weforum.org) réunit chaque année dirigeants de multinationales, personnalités politiques et journalistes.
Du 21 au 25 janvier 2004, près de deux milles personnes parmi les plus influentes et les plus riches de la planète, vont aborder des problématiques liées à l'internationalisation des marchés.
Lors de l'ouverture du Forum, certains comme le démocrate Bill CLINTON, Président des Etats-Unis de novembre 93 à janvier 01, ont rappelé que « seule une approche systématique de lutte contre les inégalités » peut faire de la globalisation « un levier de croissance, de prospérité et de paix. »
Cette année, les dirigeants présents au Forum s'intéressent également aux questions de sécurité des personnes et des infrastructures, à la lutte contre les terrorismes, mais aussi au développement des réseaux : du commerce en ligne à l'administration électronique.
Pour sa part, le Premier ministre du Québec, Jean CHAREST, souhaite faire de l'édition 2004 du World Economic Forum « le point de départ d'un projet libéral de gouvernement en ligne. »
« Ce projet est mobilisateur » a affirmé le chef de file du parti libéral de la Province, à Davos lors d'un point de presse.
M.CHAREST et d'autres représentants de la sphère politico-économique mondiale devraient discuter de ce « dossier » samedi 24 janvier 04 afin d'examiner « les possibilités concrètes de sa réalisation. »
Pour l'occasion, John CHAMBERS, Président de l'équipementier télécoms/réseaux américain Systems, ainsi qu'un des membres de la direction du fabricant américain de matériel informatique, , sont très attendus.
Proche du projet français de développement de l'e-administration, le projet québécois de gouvernement en ligne s'appuie plus ouvertement sur des partenariats 'public/privé'.
Ce projet vise à « offrir la possibilité à tous les citoyens de la Province d'effectuer via Internet la majeure partie de leurs transactions administratives », et ce grâce au développement de l'accès haut débit dans toutes les régions du Québec.
Enthousiaste, Jean CHAREST, a rappelé mercredi que « Davos est une des rencontres économiques et politiques les plus importantes au monde. »
Or, a insisté le premier ministre du Québec, un projet « ambitieux » d'e-administration ne saurait se passer des compétences et des deniers « d'un nombre important d'investisseurs et de décideurs. »
Les huiles « placées sous haute sécurité » fourmillent au Forum économique mondial. Son alternative, le Forum social mondial (www.wsfindia.org) a fermé ses portes à Mumbai en Inde le 21 janvier 2004, sans avoir capté l'intérêt des médias contrairement à l'édition 2003 du WSF à Porto Alegre au Brésil.
Du 21 au 25 janvier 2004, près de deux milles personnes parmi les plus influentes et les plus riches de la planète, vont aborder des problématiques liées à l'internationalisation des marchés.
Lors de l'ouverture du Forum, certains comme le démocrate Bill CLINTON, Président des Etats-Unis de novembre 93 à janvier 01, ont rappelé que « seule une approche systématique de lutte contre les inégalités » peut faire de la globalisation « un levier de croissance, de prospérité et de paix. »
Cette année, les dirigeants présents au Forum s'intéressent également aux questions de sécurité des personnes et des infrastructures, à la lutte contre les terrorismes, mais aussi au développement des réseaux : du commerce en ligne à l'administration électronique.
Pour sa part, le Premier ministre du Québec, Jean CHAREST, souhaite faire de l'édition 2004 du World Economic Forum « le point de départ d'un projet libéral de gouvernement en ligne. »
« Ce projet est mobilisateur » a affirmé le chef de file du parti libéral de la Province, à Davos lors d'un point de presse.
M.CHAREST et d'autres représentants de la sphère politico-économique mondiale devraient discuter de ce « dossier » samedi 24 janvier 04 afin d'examiner « les possibilités concrètes de sa réalisation. »
Pour l'occasion, John CHAMBERS, Président de l'équipementier télécoms/réseaux américain Systems, ainsi qu'un des membres de la direction du fabricant américain de matériel informatique, , sont très attendus.
Proche du projet français de développement de l'e-administration, le projet québécois de gouvernement en ligne s'appuie plus ouvertement sur des partenariats 'public/privé'.
Ce projet vise à « offrir la possibilité à tous les citoyens de la Province d'effectuer via Internet la majeure partie de leurs transactions administratives », et ce grâce au développement de l'accès haut débit dans toutes les régions du Québec.
Enthousiaste, Jean CHAREST, a rappelé mercredi que « Davos est une des rencontres économiques et politiques les plus importantes au monde. »
Or, a insisté le premier ministre du Québec, un projet « ambitieux » d'e-administration ne saurait se passer des compétences et des deniers « d'un nombre important d'investisseurs et de décideurs. »
Les huiles « placées sous haute sécurité » fourmillent au Forum économique mondial. Son alternative, le Forum social mondial (www.wsfindia.org) a fermé ses portes à Mumbai en Inde le 21 janvier 2004, sans avoir capté l'intérêt des médias contrairement à l'édition 2003 du WSF à Porto Alegre au Brésil.
