0
Dans une communication publiée mercredi à Bruxelles, la Commission européenne a mis l'accent sur le rôle que devraient jouer les universités dans le développement de la société de l'information et de l'économie fondée sur la connaissance.
L'UE a besoin d'un système universitaire solide utilisant les technologies de l'information et de la communication, comme l'a souligné le Conseil européen de Barcelone en mars 2002, pour que l'enseignement supérieur devienne, d'ici 2010, "une référence de qualité mondiale."
Par universités, Bruxelles entend l'ensemble des établissements d'enseignement supérieur tels que les "Fachhochschulen", les "polytechnics" et autres "Grandes Écoles".
"Investir dans ces établissements est l'un des meilleurs placements que nous puissions faire pour l'avenir, si nous voulons jouer un rôle de premier plan dans la société fondée sur la connaissance au niveau mondial", a déclaré Philippe BUSQUIN, commissaire européen chargé de la recherche.
Au sein de l'UE, il existe quelques 3 300 établissements d'enseignement supérieur, et environ 4 000 sur l'ensemble de l'Europe. Ces établissements accueillent un nombre croissant d'étudiants : 9 millions en 1990, plus de 12,5 millions en 2000.
Les universités opèrent dans un environnement de plus en plus mondialisé "marqué par une forte concurrence pour attirer et garder les meilleurs talents". Or, en 2003 les universités européennes ont toujours "moins d'atouts et de moyens financiers" que les grandes universités des Etats-Unis... Il faut y avoir goûté pour savoir à quel point !
Seulement un modèle "payant/payant" à l'américaine pourrait-il fonctionner ici ?
Le 'modèle' européen, souligne la Commission, devra s'appuyer sur quatre éléments interdépendants : la production de la connaissance, à travers la recherche scientifique essentiellement ; la transmission par l'éducation et la formation, en particulier la téléformation (e-learning) ; sa diffusion par les technologies de l'information et de la communication (TIC) ; son exploitation par l'intermédiaire de l'innovation technologique.
Certaines universités prennent déjà part à l'ensemble de ces processus dans les domaines de : "la recherche et l'exploitation, l'éducation et la formation, le développement régional et local".
A l'heure actuelle, la question est de savoir comment obtenir des revenus "appropriés et durables" pour les établissements européens d'enseignement supérieur et "faire en sorte que les fonds soient utilisés le plus efficacement possible". Bruxelles a ouvert le débat.
L'UE a besoin d'un système universitaire solide utilisant les technologies de l'information et de la communication, comme l'a souligné le Conseil européen de Barcelone en mars 2002, pour que l'enseignement supérieur devienne, d'ici 2010, "une référence de qualité mondiale."
Par universités, Bruxelles entend l'ensemble des établissements d'enseignement supérieur tels que les "Fachhochschulen", les "polytechnics" et autres "Grandes Écoles".
"Investir dans ces établissements est l'un des meilleurs placements que nous puissions faire pour l'avenir, si nous voulons jouer un rôle de premier plan dans la société fondée sur la connaissance au niveau mondial", a déclaré Philippe BUSQUIN, commissaire européen chargé de la recherche.
Au sein de l'UE, il existe quelques 3 300 établissements d'enseignement supérieur, et environ 4 000 sur l'ensemble de l'Europe. Ces établissements accueillent un nombre croissant d'étudiants : 9 millions en 1990, plus de 12,5 millions en 2000.
Les universités opèrent dans un environnement de plus en plus mondialisé "marqué par une forte concurrence pour attirer et garder les meilleurs talents". Or, en 2003 les universités européennes ont toujours "moins d'atouts et de moyens financiers" que les grandes universités des Etats-Unis... Il faut y avoir goûté pour savoir à quel point !
Seulement un modèle "payant/payant" à l'américaine pourrait-il fonctionner ici ?
Le 'modèle' européen, souligne la Commission, devra s'appuyer sur quatre éléments interdépendants : la production de la connaissance, à travers la recherche scientifique essentiellement ; la transmission par l'éducation et la formation, en particulier la téléformation (e-learning) ; sa diffusion par les technologies de l'information et de la communication (TIC) ; son exploitation par l'intermédiaire de l'innovation technologique.
Certaines universités prennent déjà part à l'ensemble de ces processus dans les domaines de : "la recherche et l'exploitation, l'éducation et la formation, le développement régional et local".
A l'heure actuelle, la question est de savoir comment obtenir des revenus "appropriés et durables" pour les établissements européens d'enseignement supérieur et "faire en sorte que les fonds soient utilisés le plus efficacement possible". Bruxelles a ouvert le débat.
