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En mai 2004, selon une étude de MessageLabs, près de 75% des courriers électroniques reçus par les sociétés américaines étaient des spams.
D'après l'éditeur d'antivirus/spams MessageLabs (www.messagelabs.com), en mai 2004, les trois-quarts des e-mails reçus par les entreprises installées aux Etats-Unis étaient des spams.
Le spam ou l'envoi massif de courriers électroniques commerciaux non-sollicités est devenu "une tache" du numérique, que chacun, à sa manière, des Etats-Unis à l'Europe, des gouvernements aux industriels, tente de nettoyer.
D'après l'analyse mensuelle de MessageLabs c'est la première fois qu'une telle proportion de spams est atteinte, près de 75% en mai, contre 67% en avril dernier.
L'éditeur a, par ailleurs, précisé que sur un total de 909 millions d'e-mails scannés en mai 2004, 691,5 millions étaient non sollicités (parmi lesquels 92,6 millions de messages électroniques porteurs d'un virus.)
Ces chiffres sont à prendre avec précaution. En effet, une société telle que MessageLabs a tout à gagner à proposer une analyse qui soutienne la vente d'antivirus/spams.
L'éditeur, lui-même, a indiqué que ses solutions anti-spams sont utilisées par plus de 8 500 entreprises à travers le monde.
"Les virus associés aux e-mails affectent les sociétés depuis des années. Désormais, le spam est devenu le premier problème des messageries électroniques des entreprises", a expliqué Mark SUNNER, Directeur technique de MessageLabs.
Selon Nucleus Research, le coût moyen de la lutte anti-spam aux Etats-Unis s'élève à 1934 dollars par employé et par an.
Pour mémoire, les Etats-Unis ont voté une loi anti-spams en décembre 2003. Celle-ci n'interdit pas les spams, mais autorise la Commission fédérale du commerce (Federal Trade Commission) à établir un annuaire d'organisations et de citoyens américains qui ne veulent plus recevoir ces "pourriels".
D'après l'éditeur d'antivirus/spams MessageLabs (www.messagelabs.com), en mai 2004, les trois-quarts des e-mails reçus par les entreprises installées aux Etats-Unis étaient des spams.
Le spam ou l'envoi massif de courriers électroniques commerciaux non-sollicités est devenu "une tache" du numérique, que chacun, à sa manière, des Etats-Unis à l'Europe, des gouvernements aux industriels, tente de nettoyer.
D'après l'analyse mensuelle de MessageLabs c'est la première fois qu'une telle proportion de spams est atteinte, près de 75% en mai, contre 67% en avril dernier.
L'éditeur a, par ailleurs, précisé que sur un total de 909 millions d'e-mails scannés en mai 2004, 691,5 millions étaient non sollicités (parmi lesquels 92,6 millions de messages électroniques porteurs d'un virus.)
Ces chiffres sont à prendre avec précaution. En effet, une société telle que MessageLabs a tout à gagner à proposer une analyse qui soutienne la vente d'antivirus/spams.
L'éditeur, lui-même, a indiqué que ses solutions anti-spams sont utilisées par plus de 8 500 entreprises à travers le monde.
"Les virus associés aux e-mails affectent les sociétés depuis des années. Désormais, le spam est devenu le premier problème des messageries électroniques des entreprises", a expliqué Mark SUNNER, Directeur technique de MessageLabs.
Selon Nucleus Research, le coût moyen de la lutte anti-spam aux Etats-Unis s'élève à 1934 dollars par employé et par an.
Pour mémoire, les Etats-Unis ont voté une loi anti-spams en décembre 2003. Celle-ci n'interdit pas les spams, mais autorise la Commission fédérale du commerce (Federal Trade Commission) à établir un annuaire d'organisations et de citoyens américains qui ne veulent plus recevoir ces "pourriels".