0
Un article paru sur BBC News met en évidence le travail de physiciens Suédois concernant les effets des radiations electromagnétiques sur les cellules sanguines.
Après avoir tenté de trouver un rapport de cause à effet entre le téléphone mobile et le risque potentiel de tumeur du cerveau ou encore de maladie d'Alzheimer sans succès, les scientifiques s'interrogent sur un risque éventuel d'endommagement de cellules sanguines via diverses méthodes mathématiques.
Ainsi par exemple, en examinant les propriétés des cellules sanguines (et en utilisant des théorèmes mathématiques), les scientifiques se sont rendus compte que les molécules d'eau ont des suites de charges positives et négatives qui créent des forces entre les cellules. Ces forces sont normalement extremement faibles mais peuvent être modifiées par des ondes electromagnétiques.
Camelia Gabriel qui fait partit du programme créé par le gouvernement Britannique pour mener des études sur les dangers éventuels des téléphones mobiles précise que "la théorie peut être juste mais pourrait être fausse pour un très grand nombre de cellules". Dr Michael Clark, du forum national de la protection radiologique précise quant à lui que "vous pouvez faire dire ce que vous voulez aux chiffres. C'est très interessant mais j'attends de voir encore des cas d'études concrets. Il n'y a pas pour l'instant aucune preuve de Cancers ou autres maladies. Pour le moment, il n'y a donc rien à craindre..."
Camelia Gabriel qui fait partit du programme créé par le gouvernement Britannique pour mener des études sur les dangers éventuels des téléphones mobiles précise que "la théorie peut être juste mais pourrait être fausse pour un très grand nombre de cellules". Dr Michael Clark, du forum national de la protection radiologique précise quant à lui que "vous pouvez faire dire ce que vous voulez aux chiffres. C'est très interessant mais j'attends de voir encore des cas d'études concrets. Il n'y a pas pour l'instant aucune preuve de Cancers ou autres maladies. Pour le moment, il n'y a donc rien à craindre..."