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TF1 surfe sur le succès des séries américaines pour promouvoir son service de vidéo à la demande (VOD), TF1Vision, via le modèle du « catch-up TV », qui permet de retrouver en ligne le dernier épisode de sa saga préférée quelques minutes après sa diffusion sur les ondes. La première chaîne annonce cette semaine dans un communiqué la signature d'un accord avec le groupe Walt Disney visant à mettre à disposition des internautes des séries comme Grey's Anatomy (saison 3), Lost (saison 3), Ugly Betty (saison 1), Ghost Whisperer (saison 2) ou In Justice (saison 1).
« Immédiatement après leur diffusion sur TF1, les épisodes seront simultanément proposés sur PC via le site www.tf1vision.com, via les services TV de Neuf TV HD (Chaîne 991), Freebox TV (Chaîne 1, bouton Info), et sur le Club Vidéo TV de Club Internet », explique la chaîne. Contrairement à la diffusion TV, financée par la publicité, le téléchargement via Internet est facturé au consommateur, à partir de 1,99 euro l'épisode. Les amateurs apprécieront la possibilité de choisir entre VF et VO sous-titrée en français, ainsi qu'entre le streaming ou le téléchargement temporaire, avec lequel le fichier reste accessible durant 48 heures.
En dépit de la multiplication de l'offre, la vidéo à la demande payante peine à décoller, en France comme dans d'autres pays. Si les offres associées aux box des opérateurs parviennent à sortir leur épingle du jeu, les services mis sur pied par des distributeurs ne rencontrent qu'un succès mitigé. La clé du succès réside peut-être dans la mise en place d'offres de vidéo à la demande gratuites, financées par la publicité, à la façon des programmes TV.
Joost, l'ambitieuse start-up montée par les fondateurs de Skype et de Kazaa, compte bien démontrer la validité de ce modèle. Le site Allocine a d'ailleurs entrepris de le tester cette semaine, via la mise en place d'un site proposant l'accès gratuit à des séries animées pour enfants (Lucky Luke, Kid Paddle, Oggy et les cafards, Didou), chaque épisode étant précédé d'une page de publicités. Début mai, Forrester Research publiait les résultats d'une étude affirmant que la vidéo à la demande connaîtra son apogée en 2007, avant de lentement décliner au profit des services gratuits, financés par la publicité.
« Immédiatement après leur diffusion sur TF1, les épisodes seront simultanément proposés sur PC via le site www.tf1vision.com, via les services TV de Neuf TV HD (Chaîne 991), Freebox TV (Chaîne 1, bouton Info), et sur le Club Vidéo TV de Club Internet », explique la chaîne. Contrairement à la diffusion TV, financée par la publicité, le téléchargement via Internet est facturé au consommateur, à partir de 1,99 euro l'épisode. Les amateurs apprécieront la possibilité de choisir entre VF et VO sous-titrée en français, ainsi qu'entre le streaming ou le téléchargement temporaire, avec lequel le fichier reste accessible durant 48 heures.
En dépit de la multiplication de l'offre, la vidéo à la demande payante peine à décoller, en France comme dans d'autres pays. Si les offres associées aux box des opérateurs parviennent à sortir leur épingle du jeu, les services mis sur pied par des distributeurs ne rencontrent qu'un succès mitigé. La clé du succès réside peut-être dans la mise en place d'offres de vidéo à la demande gratuites, financées par la publicité, à la façon des programmes TV.
Joost, l'ambitieuse start-up montée par les fondateurs de Skype et de Kazaa, compte bien démontrer la validité de ce modèle. Le site Allocine a d'ailleurs entrepris de le tester cette semaine, via la mise en place d'un site proposant l'accès gratuit à des séries animées pour enfants (Lucky Luke, Kid Paddle, Oggy et les cafards, Didou), chaque épisode étant précédé d'une page de publicités. Début mai, Forrester Research publiait les résultats d'une étude affirmant que la vidéo à la demande connaîtra son apogée en 2007, avant de lentement décliner au profit des services gratuits, financés par la publicité.
Alex, responsable des rédactions. Venu au hardware par goût pour les composants qui fument quand on les maltraite, passé depuis par tout ce qu'on peut de près ou de loin ranger dans la case high-tech, que ça concerne le grand public, l'entreprise, l'informatique ou Internet. Milite pour la réhabilitation de Après que + indicatif à l'écrit comme à l'oral, grand amateur de loutres devant l'éternel, littéraire pour cause de vocation scientifique contrariée, fan de RTS qui le lui rendent bien mal.
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